Utilisé comme critique ou comme compliment, le terme «libéral» revient sans cesse lorsqu’il s’agit de parler du nouveau gouvernement Valls 2.
Pourtant, pour Jacques Garello, administrateur de l’IREF, ces utilisations du mot sont hors de propos.
A supposer que les promesses suivent les discours, ce que le Premier Ministre a souhaité, ce n’est pas la révolution libérale, c’est la collaboration entre l’Etat et les entreprises. Le discours n’est pas libéral, il est colbertiste.
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