Pourquoi un pays qui exporte 15 % de sa production d’électricité persiste à construire des milliers d’éoliennes qui enlaidissent son territoire ? Pourquoi payer 3 millions pour une machine dont on n’est pas sûre si elle va fonctionner ? Sûrement par dogmatisme écologique et intérêt financier. Enquête de Nicolas Lecaussin
Écologie
C’est un livre ancien mais d’une double actualité : d’une part son auteur vient de disparaître dans l’indifférence générale des bien-pensants, alors que c’est un bienfaiteur de l’humanité (voir aussi notre rubrique « brèves »); d’autre part cet ouvrage règle son compte à la thèse néo-malthusienne de la faim dans le monde – une thèse si répandue aujourd’hui. Norman Borlaug, ingénieur agronome, a reçu le Prix Nobel de la Paix en 1970.
L’Europe a « verdi » un peu plus au dernier scrutin européen et le gouvernement français s’est précipité pour satisfaire à cette poussée électorale en évoquant la taxe climat qu’il avait déjà mis en orbite.
Un récent Rapport de l’Agence Américaine pour la Protection de l’Environnement (EPA) a été interdit à la publication. La raison ? Il conteste le réchauffement de la planète et l’impact des émissions de CO2 sur l’évolution des températures. L’IREF contribue à la diffusion de ce Rapport.
Un récent Rapport de l’Agence Américaine pour la Protection de l’Environnement (EPA) a été interdit à la publication. La raison ? Il conteste le réchauffement de la planète et l’impact des émissions de CO2 sur l’évolution des températures. L’IREF contribue à la diffusion de ce Rapport.
L’hebdomadaire Valeurs Actuelles consacre trois pages au livre de Vaclav Klaus publié par l’IREF (juillet 2009)
L’IREF et le livre de Vaclav Klaus, Planète bleue, péril vert cités par Ivan Rioufol sur son blog du Figaro. (10 juin 2009).
Les résultats des élections européennes nous renforcent dans la conviction qu’il faut combattre le nouveau totalitarisme écologiste. C’est pour cette raison que l’IREF a choisi d’éditer l’ouvrage du président tchèque Vaclav Klaus intitulé Planète Bleue en Péril Vert. Qu’est-ce qui est en danger aujourd’hui : le climat ou la liberté ?.
La conséquence la plus immédiate et la plus tangible de la vague verte sera de provoquer un tsunami fiscal. La taxe sur les énergies fossiles et la surtaxe des produits étrangers polluants vont faire leur apparition.Une bonne affaire pour le fisc, et une nouvelle catastrophe pour les entreprises et les consommateurs. Commentaire à chaud de Jacques Garello, administrateur de l’IREF.
D’après l’OCDE, les taxes mises en place pour la protection de l’environnement dans les Etats membres représentent en moyenne 2.23 % du PIB. Elles varient de 0.8 % au Mexique…