Beaucoup en Occident oublient que les événements passés et le patrimoine culturel doivent être compris dans leur cadre historique et non pas jugés par les normes, les règles et les croyances d’aujourd’hui. Même des historiens cèdent à cette déformation intellectuelle, qui ne se distingue guère de celle qui animait les talibans lorsqu’ils ont détruit les statues de Bouddha. Car malheureusement, notre approche du passé est devenue de plus en plus critique: elle mêle une attitude hypocrite de «bénéfice du recul» à une arrogance morale dans l’évaluation des événements et des personnalités des époques révolues. Une telle «histoire» devient un outil politique. Cela peut être considéré comme une forme d’iconoclasme intellectuel.
Démocratie
Les vrais coupables de la «collusion avec la Russie» et les «affaires» louches du fils Biden
Le rapport du Sénat américain qui vient d’être rendu public dévoile que la société gazière ukrainienne Burisma a embauché Hunter Biden en tant que «consultant», en mai 2014, quelques semaines seulement après que le vice-président Joe Biden eut pris l’initiative d’aider l’Ukraine à lutter contre la corruption (sic). Dans l’affaire de la « collusion avec la Russie » qui mettait en cause le président Trump, des documents du FBI déclassifiés confirment qu’il y a bien eu un montage mis au point par des anciens du FBI avec la bénédiction et l’argent des Démocrates. Les (vrais) coupables seront-ils punis un jour ?
Le terme « populiste » est devenu omniprésent ces dernières années. Le premier graphique (fréquence de recherche Google de 2004 à 2020) démontre l’augmentation de son utilisation. La présidentielle américaine de 2016 y a considérablement contribué, le plus grand nombre de recherches se situant début 2017 après la victoire de Donald Trump. Phénomène comparable au Brésil pour l’élection de Jair Bolsonaro, décrit par la presse internationale et par beaucoup d’observateurs comme un “populiste d’ultra-droite”. Il aurait pris le pouvoir de la 4ème démocratie au monde du fait de la frustration, de la colère et de la désillusion du peuple. Les données montrent aussi que l’intérêt pour le populisme est un phénomène mondial. Il est particulièrement notable en Amérique du Nord et dans les pays nordiques européens comme la Suède (figure 2), mais il a baissé ces deux dernières années. Il y a deux explications à cela.
Plutôt que de se coucher devant l’omnipotence chinoise au nom de quelques intérêts industriels immédiats, l’Europe doit défendre ses valeurs. Les dirigeants européens et les organisations de Bruxelles auraient du la condamner ne serait-ce que symboliquement. On le fait avec la Russie de Poutine, il n’y a pas de raison de ne pas agir de la sorte avec la Chine de Xi Jinping. Dans l’intérêt de tout le monde.
Ne partez pas en vacances sans le dernier livre de Marc Nexon ! Journaliste au Point, il a accompli un véritable exploit : faire un semblant de reportage en Corée du Nord. Depuis des années, il essayait d’y entrer et c’est seulement en 2018 qu’il a trouvé l’astuce pour le faire.
«On ne permettra jamais aux extrémistes gauchistes de détruire notre mode de vie et nos libertés»
Ceux qui aiment et qui veulent défendre les libertés devraient retenir ce discours du président Trump prononcé le 3 juillet, à l’occasion du 224e anniversaire des Etats-Unis d’Amérique. Celui que (presque) tout le monde – en particulier les médias – voit comme le «diviseur de l’Amérique», a demandé au peuple américain de se rassembler autour des principes fondateurs du pays et des personnalités qui l’ont forgé. «Plus qu’aucune autre nation, a dit avec justesse le Président, c’est l’Amérique qui a fait progresser la condition humaine et le progrès humain». C’est en Amérique que les libertés individuelles ont pu s’exprimer et ont été protégées.
Connaissez-vous Greta Thunberg ? Sûrement, vu ses compétences sans limites. Après avoir donné des conseils sur CNN concernant le coronavirus, elle somme le vice-président de l’Union européenne de réformer la…
L’affaire est très grave et sans précédent dans l’histoire politique américaine. Pendant plus de trois ans, les démocrates ont accusé le président Trump d’avoir gagné les élections grâce à la…
Le gouvernement ne s’occupe pas seulement de notre santé et de notre bien- être, il veut aussi que nous soyons correctement informés. C’est à lui que reviendrait cette mission. Il existe déjà des chaînes publiques financées avec l’argent des contribuables ainsi que plusieurs chaînes et journaux qui font plus un “travail” de porte-parole du gouvernement que de journalisme.
Auteur d’une très remarquable étude consacrée à la famine provoquée par Mao, Frank Dikötter, enseignant à l’université de Hong Kong et senior fellow au Hudson Institute, n’a jamais été traduit en France. Il est l’un des meilleurs connaisseurs des systèmes totalitaires. Ce dernier essai aborde un des aspects les plus intéressants et importants dans une dictature : le culte de la personnalité chez huit dictateurs du XXe siècle. La figure du Chef suprême est l’une des conditions de la survie d’une dictature mais ce n’est pas la seule. « L’Etat c’est moi », disait le monarque absolu au XVIIe siècle. Cela signifiait, entre autres, le droit de vie et de mort sur ses sujets. La plupart des dictateurs reprendront cette formule en la mettant en pratique avec les moyens « modernes » de surveillance et de terreur.