Le patron de la CGT, Philippe Martinez fait le tour des médias pour réclamer hauts et forts un SMIC à 2 000 euros brut. Les salaires, grande revendication de la centrale depuis des années, sont, il est vrai, faibles en France au regard de ceux que versent nos voisins allemands ou autrichiens. Néanmoins, un SMIC à 2 000 euros, dans un pays où les employeurs supportent le gros de la solidarité nationale, conduirait à des licenciements massifs pour préserver les marges. De plus, dans l’imaginaire de la CGT, en augmentant les salaires de 500 euros, le pouvoir d’achat des ménages augmenterait systématiquement de 500 euros. C’est méconnaître une vérité première en économie, que toute hausse des salaires engendre une hausse des coûts de production et donc une hausse des prix de vente. Laquelle devrait donc absorber une partie de la hausse des salaires.
Sur le site de la CGT, on trouve tout un laïus destiné aux militants pour les convaincre. Il tente, sans guère d’arguments économiques sérieux, de démonter les principes basiques de l’économie de marché. On lit par exemple que ce ne sont pas les augmentations de salaires qui sapent la compétitivité des entreprises, mais les dividendes versés aux actionnaires. Et bien entendu, le syndicat fait l’impasse sur les vraies causes des problèmes : les charges sociales qui, chez nous, peuvent atteindre 80% du salaire brut. Ce sont elles qui étouffent les entreprises et l’emploi. Le petit « guide rouge » de la CGT ne convainc donc personne – enfin, personne d’un peu informé. Il illustre spécifiquement le manque de culture économique de nos syndicats, dont le niveau ne soutient même pas le début d’une comparaison avec leurs homologues allemands, danois ou néerlandais.
5 commentaires
Martinez est un fonctionnaire ,il devrait prendre la direction d’une entreprise Privé ,Ca le rendrait plus intelligent .
Et nous on demande à Martinez d’obliger les salariés de la fonction publique à travailler 35h par semaine et à respecter le nombre de RTT et de sem de congés .
Il faudrait lui expliquer à Mr Martinez ce que coûtent les cotisations . D’ailleurs elles deviennent de véritables charges à un moment .
Il est si fort M Martinez qu’il pourrait bien mettre la main à la poche,pour rattraper ou combler la différence, ça lui permettrait de s’engager un tout petit peut personnellement !
Moi :
« JE VEUX » que monsieur Martinez crée sa « propre » entreprise avec ses moyens personnels pour qu’il puissent éprouver par lui-même ses propres contresens…
• Monsieur Martinez discoure comme « un prêtre qui vous parle du mariage »
Monsieur Martinez intègrera ainsi les problèmes de mouiller sa chemise en passant des nuits souvent très courtes et agitées….
Mais monsieur Martinez VEUT dans la CGT, et son organisation est déficitaire SI LE CONTRIBUABLE NE LA FINANÇAIT PAS… !
• C’est ainsi que monsieur MARTINEZ gère et dirige la CGT… (les revenus des cotisations de ses ‘’clients’’ ne suffisent pas à faire fonctionner la CGT… !)
La CGT devrait ainsi être en faillite
Moi :
Je VEUX que monsieur MARTINEZ soit rentable dans la CGT qu’il dirige et ensuite Monsieur MARTINEZ POURRA DONNER DES LEÇONS EN : « VOULANT » ….