Le Premier ministre souhaite que la dépense publique augmente de seulement 1% par an au lieu de 2%. Etrange conception de l’économie. Dans un pays où l’Etat confisque la moitié des richesses créées par les Français, on veut que cette confiscation continue de plus belle mais à un rythme moins soutenu ! Plus grave encore, on prévoit une « réforme » des retraites sans exclure une hausse des cotisations.
Avec ces remèdes étatistes, on peut être sûr que la croissance sera très forte dans les années à venir…