L’intelligence artificielle trouve son point de départ dans les années 50, notamment grâce aux recherches d’Alan Turing, et se définit comme « une discipline mathématique et technique destinée à reproduire l’intelligence humaine »[[« Intelligence artificielle : État de l’art et perspectives pour la France », DGE, Études économiques, Prospective, synthése, février 2019, p.10]]. Deux cycles successifs ont marqué son émergence : dans les années 80, le concept d’apprentissage automatique se développe et permet à une machine de déduire une règle à suivre à partir de l’analyse de données, c’est le véritable lancement des algorithmes apprenants qui ont permis, par exemple, à l’ordinateur deep blue de battre Gary Kasparov aux échecs. A partir des années 2000, l’avènement d’Internet et des grandes infrastructures de calcul permet d’avoir accès à un volume de données croissant et de créer des techniques d’apprentissage profond où les machines commencent à surpasser les meilleurs experts humains dans des domaines variés, tel que la reconnaissance visuelle, l’analyse documentaire ou la traduction.
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Bien sûr, le président de la République utilise son mandat pour en gagner un second. C’est humain, mais là trop, c’est trop. M Macron est en campagne. Il s’y donne beaucoup, toujours en déplacement pour sillonner la France et y distribuer sans attendre aux uns l’argent qu’il prendra demain dans la poche des autres. Cette augmentation infinie des dépenses est la marque du mandat de M. Macron. Elle est démesurée.
Petite-fille de Pieds Noirs, j’ai baigné dans leur mémoire meurtrie, mais fière. Une mémoire que le lycée, puis les études, n’ont cessé de salir, faisant de mes grands-parents des racistes tortionnaires et responsables d’un génocide.
Quels émouvants souvenirs ! Octobre 1948 : vers 6h30 mon frère et moi prenons silencieusement les petites cages dans lesquelles se trouvent quelques « tourdres » (mot provençal dérivé du…
Légalisation du cannabis dans plusieurs Etats américains : quelques conséquences (néfastes)
Certains ont pu s’imaginer qu’avec la libéralisation de la vente du cannabis, les dealers allaient ouvrir des boutiques et payer sagement leurs taxes et impôts. Qu’ils allaient offrir des cartes fidélité et pratiquer des prix bas durant la période des soldes. C’est le rêve bisounours. La réalité est un peu différente et plusieurs données en provenance d’Etats américains qui ont légalisé la vente de cannabis devraient nous faire réfléchir.
L’OCDE a sorti jeudi 16 septembre son rapport annuel « Regards sur l’éducation 2021 ». La France investit davantage que les autres pays de l’OCDE pour l’éducation. Mais pour quels résultats ?
Si la crise sanitaire a quelque peu fait oublier les thématiques migratoires, ses flux, bien que moindres, ne se sont pas taris. Des faux mineurs aux clandestins, ces étrangers coûtent des milliards au contribuable.
Les violences de la Ligue de défense noire africaine ? C’est grâce à vous !
La Ligue de défense noire africaine s’est encore une fois illustrée par l’agression d’agents publics en Normandie. Alors que sa dissolution est en cours, c’est l’occasion de rappeler que de nombreuses associations racialistes sont nourries d’argent public.
Le 7 juillet 1950, le Conseil d’État, par l’arrêt Dehaene, reconnaissait aux fonctionnaires le droit de faire grève. Initialement, son interdiction avait été conçue comme une contrepartie à la sécurité de l’emploi. A ce titre, le principe de continuité des services publics[[Reconnu comme principe à valeur constitutionnelle par le Conseil constitutionnel dans sa décision du 25/07/1979, Droit de grève à la radio et à la télévision, ce qui est aussi le cas du droit de grève.]] l’emportait et la fonction publique ne connaissait pas de mouvements sociaux de grande ampleur. La situation a fortement évolué depuis ; de grandes grèves accompagnant fréquemment chaque tentative de réforme de l’administration voulue par l’exécutif.
Rémunérations illégales du Conseil Constitutionnel : Pierre Moscovici, Premier président de la Cour des Comptes, botte en touche
Le 30 juin dernier, nos lecteurs avaient pu prendre connaissance de la lettre ouverte que nous venions d’adresser à Monsieur Pierre Moscovici, Premier Président de la Cour des comptes, à la fois pour dénoncer les dérives des rémunérations du Conseil constitutionnel et pour lui demander ce que la Cour des comptes entendait faire pour y mettre fin. Le 28 juillet, Monsieur Moscovici nous a personnellement répondu et nous tenons à saluer à la fois la diligence de sa réponse et le soin apporté à sa rédaction, qui tranche sur les habitudes épistolaires de trop nombreux personnages de notre République qui savent si bien conjuguer – même au sommet – les silences et les fins de non-recevoir. Nos lecteurs trouveront donc en annexe la lettre du Premier Président de la Cour des comptes, que nous avons tenu à publier in extenso pour respecter notre attachement à une information complète et contradictoire. Sur le fond, par contre, nous ne cacherons pas notre déception, car le Président botte clairement en touche. Après avoir invité le lecteur à prendre par lui-même connaissance de la réponse de notre éminent correspondant (II), nous réfuterons pied à pied chacune de ses objections (III) avant de conclure (IV) sur le peu qu’il reste de la République exemplaire qu’on nous avait promise.