A fond à gauche ! 100 jours après avoir accédé à la Maison Blanche, Joe Biden a eu le temps d’annoncer la plus forte augmentation d’impôts et de taxes depuis 1968, plus de 4 000 milliards de dollars de dépenses publiques pour « relancer l’économie » et « refaire les infrastructures » et un programme politique « progressiste » et racialiste qui étonne même les démocrates les plus gauchistes. Nous avons déjà eu l’occasion d’analyser en détail toutes ces dépenses dont l’utilité est plus que douteuse et qui plomberont lourdement les finances du pays comme les poches des contribuables. Mais Biden ne s’arrête pas là. Il veut « reprendre le combat contre le réchauffement climatique abandonné par Trump » et, pour cela, il a annoncé un plan sur 10 ans qui ressemble aux plans lancés par les économies dirigées. Son objectif est de réduire de 50 %, d’ici à 2030, les émissions de CO2 par rapport au niveau de 2005. Un objectif démagogique qui s’appuie sur des promesses illusoires et dangereuses.
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Le confinement, formidable moyen de lutter contre le surendettement des ménages ?
On pourrait penser que la crise aurait accentué le surendettement des ménages français. Il n’en est pourtant rien puisque les commissions de surendettement ont vu leur activité baisser d’un quart en 2020. Alors que la dette publique gonfle dangereusement, la dette des ménages surendettés diminue de 1,3 milliard d’euros.
Santé publique France a comptabilisé 65.000 morts du Covid pour 2020, auxquels il faudrait peut-être ajouter les décès à domicile représentant « environ 5 % des décès si on s’aligne sur les taux observés à l’étranger » estime l’Institut national d’études démographiques –INED-, soit un peu plus de 68.000 personnes décédées du Covid l’an dernier.
Pourtant, selon une note de l’Insee établie au regard des donnée disponibles au 15 janvier 2021, 667 400 décès toutes causes confondues ont été enregistrés en 2020 en France. En 2019, le nombre de décès était de 613 243 décès, soit 54 157 de moins qu’en 2020.
La Cour des comptes rendait mi-avril son rapport sur le budget 2020 de l’Etat. Sans surprise, la pandémie a aggravé le déficit et la dette publics. La Cour des comptes regrette également un suivi et un pilotage insuffisant des budgets. L’Etat dépense littéralement sans compter.
En 2020, l’Etat a dépensé 389,7 milliards d’euros pour son budget général, c’est-à-dire 15,5% de plus qu’en 2019. Près de la moitié de cet argent vient d’un endettement public, et non de recettes publiques.
A l’issue d’une séance le 24 février 2021, le Conseil économique, social et environnemental (CESE) a publié son avis sur les enjeux et les déclinaisons du «financement des investissements nécessaires pour l’avenir ». Le texte voté par le CESE explique la nécessité d’un « Etat stratège et planificateur ». A la lecture du rapport, sa volonté est évidente : dépenser l’argent du contribuable à flot dans des projets que l’Etat aura définis comme des investissements d’avenir.
Or, personne ne peut prévoir avec certitude d’où viendra l’innovation, l’Etat moins que tout autre. Ses investissements se sont souvent révélés comme des gaspillages dantesques d’argent public et des échecs commerciaux autant que financiers.
Cette question est plus fondamentalement celle de la compatibilité de l’islam avec les valeurs occidentales de liberté, de responsabilité, de démocratie… D’une manière générale, l’islam peut permettre le libéralisme économique par indifférence, parce qu’il ne s’en occupe pas ; il admet certaines libertés privées, mais il nie le libre arbitre de l’homme. Il ne peut donc pas être libéral dans son acception pleine, et non seulement économique, qui croit que la liberté est au fondement de toute humanité — pour permettre la recherche par chacun de ses propres fins — et qui fonde l’avenir et la prospérité des civilisations sur la liberté humaine.
La conquête spatiale a quelque chose de spécial, elle fait rêver toutes les générations, à tous les âges. Et aujourd’hui, les rêveurs ont de quoi exulter : Thomas Pesquet rejoignant l’ISS, la Station spatiale internationale dont il sera, pendant quelques semaines, le commandant de bord ; un retour sur la Lune prévu en 2024 ; une sonde actuellement à la recherche de trace de vie sur Mars ; un voyage humain vers Mars qui n’est plus une totale chimère, etc. Certains projets s’avéreront peut-être un peu trop ambitieux, mais les exploits se multiplient. Qui l’aurait parié il y a vingt ans ?
Le 3 mars 2021, le Fidesz a quitté le Parti populaire européen. En cause : la hausse des tensions entre les dirigeants du PPE – tels que le polonais Donald Tusk et l’allemand Manfred Weber – et le Premier ministre hongrois Viktor Orban. Ce départ ne va pas être sans conséquences sur la politique européenne. Le Fidesz, avec ses 13 sièges au Parlement européen, était la quatrième force du PPE. Désormais en quête de nouveaux alliés, le parti hongrois aimerait créer une nouvelle force politique à droite. La récente rencontre de Viktor Orban avec Mateusz Morawiecki, Premier ministre polonais du parti « droit et Justice » (PiS) et le dirigeant de la Ligue du Nord/Lega Matteo Salvini, permet d’entrevoir une nouvelle recomposition, mais pousse à s’interroger quant à l’avenir du libéralisme dans l’UE.
Le délit d’écocide dans la loi Climat : entre affaiblissement du droit et régression juridique
Le grand juriste des Lumières Cesare Beccaria se retournerait dans sa tombe en voyant l’état de notre droit ! La majorité LREM a adopté, samedi dernier, le délit d’écocide au cours de la discussion à l’Assemblée nationale sur la loi Climat. L’écocide devient un délit alors que la Convention voulait en faire un crime. C’est un fait, l’écologisme envahit nos lois et notre droit.
Lorsque les taux d’imposition baissent, les sociétés augmentent leurs activités et déclarent plus de revenus. De plus, il ne faut pas oublier : l’IS est in fine bel et bien payé par les consommateurs. Le baisser c’est donner aussi plus de pouvoir d’achat.