Une société sans riches serait morne et triste. L’inégalité des situations individuelles donne l’envie à chacun de se dépasser, pour s’enrichir à son tour; c’est cela qui crée le dynamisme de la société tout entière. Les plus fortunés contribuent au dynamisme de l’économie tout entière.
Lire l’interview de Jean-Philippe Delsol dans Le Figaro (14/02).