Augmenter les taxes pour faire face à des dépenses publiques excessives, réfléchir à la meilleure façon de nettoyer Paris, incarner la gauche lors des élections présidentielles, Anne Hidalgo avait beaucoup à dire au Journal du Dimanche. Malgré #saccageparis, ce mouvement de dénonciation de l’enlaidissement de Paris qui dure depuis plusieurs semaines, et sa gestion calamiteuse des dépenses publiques, Anne Hidalgo se voit bien présidente de la République. Elle aurait, affirme-t-elle, “l’expérience de la gestion publique, de l’exercice du pouvoir, et une image internationale”.
Anne Hidalgo semble surtout spécialiste des dépenses publiques et des rapports qui évitent d’agir. Elle se félicitait de la présentation prochaine d’un “véritable big bang territorial pour trouver des solutions pour un Paris plus propre”.
Au fond, Anne Hidalgo trace sa route dans la continuité de celle qui prévaut depuis plusieurs années : multiplier les rapports, multiplier les dépenses, agir à l’international et de rien faire en France. Son offre politique “de gauche, écologiste, féministe et profondément républicaine”, résonne sans doute dans beaucoup d’esprits macroniens et socialistes. Reste à espérer que les sondages, qui ne lui donnent pas 10 % des voix, ne se trompent pas !
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Hidalgo deverait balayer devant sa porte
La gabegie parisienne de la duègne dépasse à raison de 3 à 4 fois les excès de Chirac ou Tiberi
exemple 15000 fonctionnaires sous Chirac/Tiberi, 55000 sous Delanouée/Hi-dalgo