La fraude sociale étant par nature un phénomène non déclaré, on peut penser que vouloir l’estimer est impossible. Pourtant l’exemple britannique démontre le contraire.
En effet, le Royaume-Uni a développé une approche qui fait figure d’exemple. Le Department for Work and Pensions (DWP), antenne du ministère du Travail chargée de l’ensemble des aides sociales du pays, incarne la transparence sur ce sujet.
Depuis 2010, tous les services sociaux britanniques y sont regroupés, ce qui garantit une gestion plus sérieuse et des contrôles plus faciles.
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Etats-Unis : les libertés et la démocratie menacées par les ravages du politiquement correct
Quelques semaines avant les présidentielles de 2016, le Comité pour la protection des journalistes américains a publié un communiqué de mise en garde contre l’élection de Trump qui serait une «menace sans précédent pour la liberté de la presse en Amérique». D’autres organisations et associations, ainsi que des personnalités des différents milieux, intellectuels ou artistiques (voir à cet égard l’ouvrage de Bret Easton Ellis) publiaient ou faisaient des déclarations toutes plus alarmistes les unes que les autres sur ce qui se passerait au cas où Trump deviendrait président : «Ce sera 1933 !» répétaient-ils la peur au ventre. « Quatre ans plus tard, on se rend compte qu’ils avaient bien raison », écrit avec ironie l’éditorialiste du Wall Street Journal, Gerard Baker. Sauf que la démocratie et la liberté d’expression ne sont pas menacées par Trump mais par les organisations gauchisantes, les élus démocrates et l’idéologie du politiquement correct.
Financer la relocalisation en France ou laisser faire les dirigeants d’entreprises ?
Le marché automobile français a chuté de près de 20 % au mois d’août. Sur les huit premiers mois de l’année 2020, les immatriculations sont en baisse de 32 % par rapport à l’année dernière.
Bien évidemment, la période du confinement a fait fortement baisser les ventes : – 72 % en mars, – 88,8% en avril, – 50,3% en mai. En juin, elles se sont redressées de 1,2%, puis de 3,9% en juillet. Pourtant le gouvernement n’a pas ménagé ses efforts ces derniers mois, ou plus exactement les dépenses, pour faire repartir le marché automobile. En mai dernier, il a été présenté un plan de relance pour le secteur automobile, qui comprenait trois axes.
Vers un décalage du centre de gravité économique de l’UE en faveur de l’Europe du Nord et l’Europe centrale ?
La crise sanitaire de la COVID a eu des effets économiques globaux dont l’ampleur exacte n’est pas encore connue. Néanmoins des tendances apparaissent déjà. Tous les Etats ne s’en sortent pas de manière identique : certains arrivent à limiter les dégâts en matière de récession et de chômage, tandis que d’autres plongent. A l’échelle de l’Union, force est de constater que l’Europe du Nord et l’Europe centrale ont réussi à éviter une situation trop catastrophique. Une dynamique qui pourrait pousser à un recentrage de l’UE autour de cette région au détriment de la France et du sud de l’Europe.
COVID-19, masques obligatoires et reprise épidémique : petite comparaison européenne
En cette rentrée, le masque est sur tous les visages. Déjà obligatoire dans les transports en commun, il l’a été progressivement dans tous les lieux clos publics, puis dans les rues de certaines villes, puis dans des villes entières sous certaines conditions… et cela changera peut-être encore. Personne n’y comprend plus rien et chaque décision divise les Français, les experts, mais aussi les autres pays européens.
Vous avez dit plan de relance ? En réalité, 70% des milliards du Plan « France Relance » qui seront dépensés n’iront pas dans des investissements mais serviront à financer des dépenses courantes ou des promesses de campagne non tenues. Par exemple, 13 milliards d’euros sont prévus pour la reprise de la dette des hôpitaux! Ainsi, ce plan cache un endettement supplémentaire de l’État pour pallier son déficit.
Au même moment le gouvernement présente son plan de relance et nomme un Haut Commissaire au Plan. C’est qu’il croit à la magie du plan. Il annonce « un Plan de relance historique de 100 milliards d’euros pour redresser durablement l’économie française et créer de nouveaux emplois. L’objectif : transformer l’économie en investissant prioritairement dans les domaines les plus porteurs et faire en sorte que la France puisse retrouver son niveau économique d’avant crise dans deux ans ». Cette manne publique sera dispensée principalement dans les trois domaines fourre-tout de l’écologie, la compétitivité et la cohésion sociale. Ces 100 milliards s’ajoutent aux 470 milliards d’euros déjà mobilisés depuis mars 2020 pour financer les mesures prises dans le cadre de la crise sanitaire.
L’économie américaine revit et les impôts français sont toujours les plus élevés au monde !
Rappelez-vous ! C’était en mars, au début de la terrible crise économique causée par la pandémie et par le confinement. De nombreux experts avaient prédit une récession sans précédent aux Etats-Unis et un taux de chômage qui atteindrait 25 %, comme dans les années 1930. Six mois plus tard, l’économie américaine leur donne tort. Une nouvelle fois d’ailleurs. Le taux de chômage est descendu à 8.4 % fin août, presque deux points de moins qu’en juillet. Il était à 15 % au mois d’avril, en pleine crise. L’économie américaine a créé 1.4 millions d’emplois en août et 10.5 millions d’emplois sur les quatre derniers mois. C’est d’autant plus impressionnant qu’il a fallu trois ans après la crise de 2008 pour arriver à une telle performance et un taux de chômage pareil (en août 2012, il était encore à 8.1 %).
Betteraves et néonicotinoïdes : quand une décision d’écologie politique risque de tuer un secteur entier
Les plantations de betteraves sucrières viennent de connaître une crise terrible, traversée par le virus de la jaunisse. Mais cette crise ne tombe pas du ciel, ce n’est pas une malédiction qui s’abat sur les exploitants de betteraves, mais bien le résultat de l’inconséquence d’une décision politique prise par un gouvernement socialiste.
Fin 2019, avant la crise du Covid, le taux de chômage des Noirs était à 5.4 %, un taux qu’on n’avait pas vu depuis les années 1970. Sous Obama, il n’est jamais descendu en dessous de 7.5 %. Durant les trois premières années de la présidence de Trump, le revenu médian de la minorité noire a augmenté de 19 %, à 806 dollars/semaine. Sous Obama, le revenu médian des Noirs n’a augmenté que de 11 % durant les deux mandats !