Le classement Fortune des 50 entreprises les plus admirées dans le monde est dominé par Apple, Google, Amazon et Coca Cola… Parmi les entreprises non-américaines figurent – entre autres –…
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Les Editions du Muscadier présentent en un seul et même ouvrage les arguments pour ou contre la mondialisation. Quel est le résultat ? On peut voir d’un côté la faible argumentation et les mensonges des altermondialistes et, de l’autre, l’analyse de Lucas Léger, chercheur à l’IREF, qui rappelle que la mondialisation a enrichi tous les pays, créé des emplois, et que sans libre échange on n’aurait jamais connu ni la Renaissance ni la Révolution Industrielle ni la fin du Tiers Monde.
Victoire : la culture échappera au libre échange atlantique ! Cette « exception française » est inspirée d’abord par la haine du libéralisme, de la concurrence, voire des Américains, ensuite par les privilèges et prébendes dont bénéficie le monde culturel français. Victoire à la Pyrrhus sans doute.
Faute de recettes suffisantes, les Etats organisent la lutte contre la concurrence fiscale. Les comptes consolidés de sociétés ne seront plus prétextes à jouer sur les différences entre pays où leurs divers établissements opèrent : plus de frontières fiscales, une vraie prison mondiale !
Non, il ne s’agit pas d’une crise mais d’une transition. Notre économie change et il faut s’adapter. Certains l’ont compris, d’autres pas. Ce sont les conclusions du dernier ouvrage de l’économiste Nicolas Bouzou. Le titre et le sous-titre (« Croire en l’économie de demain ») sont révélateurs. Notre pays met sur le dos de la crise tout changement.
Les adversaires du mondialisme se réfèrent volontiers à la concurrence déloyale des pays émergents. Dans une étude bien documentée, Lucas Léger, chercheur à l’IREF, démontre que non seulement les échanges avec la Chine ne sont pas en cause, mais aussi qu’une politique protectionniste accentuerait l’écart avec notre principal compétiteur : l’Allemagne.
C‘est l’alliance insolite entre un psy et un analyste raffiné et cultivé. Ils ont décidé d’ausculter notre pays qui va très mal. C’est un pays qui a des crises d’adolescence.…
Il faut saluer comme il se doit la traduction (excellente) en français faite par Emmanuel Martin de ce petit ouvrage qui est en quelque sorte la Bible de tous ceux…
C’est le prix Nobel, Joseph Stiglitz, qui y a pensé le premier : instaurer un nouvel Indice économique à la place du « trop vieillot » PIB. Il s’agit de…
Dans un entretien accordé aux Echos (22/06), Xavier Niel, fondateur de Free, commente l’ancienne position oligopolistique des opérateurs télécoms historiques et leurs baisses de chiffre d’affaires. Une remarque pertinente digne…