En décembre dernier, les médias condamnaient à l’unisson l’arbitre roumain de la rencontre de football entre le Paris Saint-Germain et une équipe turque car il aurait eu des propos racistes.…
Libéralisme
Comme l’IREF, le Républicain David Lisnard prône la responsabilité et la liberté
Membre des Républicains et maire de Cannes depuis 2014, David Lisnard se positionne comme l’une des voix libérales de son parti. Dans une interview publiée ce mercredi dans Le Figaro,…
Les Tchèques sont plus riches que les Espagnols et les Italiens
C’est désormais officiel. En 2020, les Tchèques sont devenus plus riches que les Espagnols et les Italiens avec un PIB par habitant en parité de pouvoir d’achat à 40 293…
Pour Julien Aubert (LR), il faut rompre avec le consensus « néolibéral »
Des nouvelles de la droite la plus collectiviste du monde. Dans une tribune publiée samedi dans le JDD, le député gaulliste du Vaucluse Julien Aubert appelle à rompre avec le…
Les anciens pays d’Europe de l’Est, appelés « démocraties populaires » sous le communisme, connaissent un développement économique grandissant et une amélioration des conditions de vie de leur population. C’est un véritable boom. L’un des exemples les plus marquants est celui de la République Tchèque. En effet, les Tchèques deviennent plus riches que les Espagnols et les Italiens. Quelle est la recette de cette réussite? La réponse est simple, c’est le libéralisme économique.
Aux élections législatives de janvier 2015 les Grecs donnaient le pouvoir à Alexis Tsipras, le Mélenchon local, dont le programme électoral avait été « la fin de l’austérité ». Le taux des emprunts publics montait alors à 20 % l’an et le 29 juin 2015 toutes les banques grecques fermaient.
Le 13 juillet, Alexis Tsipras signait un accord avec les institutions européennes. Celui-ci prévoyait : pour le 15 juillet (soit 2 jours après la signature), « rationalisation du régime de TVA, élargissement de l’assiette fiscale et programme global de réforme des retraites » ; d’ici le 20 juillet , programme de « réduction des coûts de l’administration » ; pour le 22 juillet, nouveau « code de procédure civile, pour accélérer considérablement les procédures judiciaires ». L’accord prévoyait en outre des « privatisations de 50 milliards d’euros », un droit du travail « aligné sur les meilleures pratiques internationales » en particulier pour « les procédures de licenciements collectifs » et des « réductions quasi-automatiques des dépenses en cas de dérapages par rapport à des objectifs ambitieux d’excédents primaires » (l’excédent primaire est le solde positif du budget avant paiement des intérêts de la dette). De plus, « tout projet législatif » devait être approuvé par les institutions européennes. L’accord concluait : « Quand le Parlement grec aura approuvé tous ces engagements », il sera possible de « négocier un protocole d’accord » pour de nouveaux prêts (« 82 à 86 milliards d’euros »).
Un véritable génocide a lieu en Chine dans la province de Xinjiang. Les Ouïghours sont déportés, enfermés dans des camps et exterminés méticuleusement par la dictature de Pékin. Une survivante, Gulbahar Haitiwaji, témoigne dans ce livre poignant. Elle a passé trois ans dans les geôles chinoises. Elle a été torturée, déportée et « rééduquée ».
Une petite communauté de lumières dans un immense enfer de ténèbres, tel est le dernier beau récit d’Andreï Makine qui laisse derrière lui, malgré toute sa poésie, un sentiment de tristesse infinie.
C’est l’étatisme qui échoue mais c’est le libéralisme le coupable
Désigner le libéralisme et le capitalisme comme les coupables parfaits, ce n’est pas une nouveauté. Le faire durant cette crise du Covid, après l’échec de l’État dans la gestion de…
Chers amis de l’IREF,
le numéro de l’hiver 2020 du Journal des Libertés est disponible.