Jean-Philippe Delsol est l’invité de l’émission Europe 1 soir (5 mars) pour parler du nouveau classement Forbes consacré aux plus riches. Ecoutez l’émission.
Impôts et Fiscalité
L’émission sur les riches programmée par la chaîne ARTE et à laquelle participait Jean-Philippe Delsol a été aussi reprise par le site du quotidien La Tribune (4 mars). Voir l’émission.
Jean-Philippe Delsol, administrateur délégué de l’IREF et co-auteur de l’ouvrage A quoi servent les riches, est invité de l’émission 28′ sur ARTE. Voir l’émission.
Produire et exporter le « made in France » : programme très populaire, mais qui ne peut se réaliser que si les entreprises veulent rester ou s’installer en France. Or, elles fuient l’enfer fiscal et réglementaire. A l’étranger les impôts sur les sociétés sont beaucoup moins élevés qu’en France et le cadre juridique est stable et attractif.
La France voudrait à la fois fermer ses frontières aux produits étrangers et exporter plus. Elle aimerait que ses multinationales se développent à l’étranger, mais qu’elles payent toutes leurs impôts en France. Et constatant que les grandes entreprises font surtout leurs profits au-delà de nos frontières, la France les accuse d’optimisation fiscale confinant à la fraude. Plutôt que de s’interroger sur les déficiences structurelles de l’économie française qui ploie sous le poids de l’Etat, celui-ci pointe du doigt les grandes entreprises étrangères pour en faire de faciles boucs émissaires.
Jean-Philippe Delsol, administrateur délégué de l’IREF, a été interviewé par la chaîne américaine CBN sur l’exil de Français. « C’est un problème de fiscalité », dit Jean-Philippe Delsol qui est aussi l’auteur…
Passer de la flat tax à l’impôt progressif ferait baisser les rentrées fiscales
Cela fait une quinzaine d’années que la Roumanie a adopté la flat tax, un impôt à taux unique à 16 %, pour les personnes comme pour les entreprises. Mais des…
Jean-Philippe Delsol, administrateur de l’IREF, a été interviewé au Journal de 13 heures sur RFI à propos de l’exil fiscal français.
L’Etat français veut se mêler de tout. « Semez des fonctionnaires, il pousse des impôts » disait Clémenceau. Le dirigisme, c’est la fiscalité. Mais c’est aussi le désordre économique : la pression des corporations, les emplois perdus, la population moins active, l’assistanat pour les uns et le harcèlement pour les autres. La seule vraie réforme, c’est le retrait de l’Etat.
En dépit des évidences, et malgré le reflux des idées keynésiennes, certains ne désarment pas : le profit, l’appât du gain et l’ultralibéralisme expliqueraient la crise, et l’Etat affaibli ne pourrait contrôler le pouvoir des riches. Mais qui croit encore à cette fable ? L’opinion publique ouvre enfin les yeux.
Il n’y a rien de pire en France que d’être riche et libéral. C’est la conclusion de plusieurs ouvrages qui viennent de sortir, et donnent une lecture décalée de la crise et de ses origines. L’originalité de la chose, c’est que les auteurs ne passaient pas jusqu’à présent pour des doctrinaires de gauche.
1 milliard d’euros de redressement pour Google !
Jean-Philippe Delsol, Administrateur délégué de l’IREF, a été interviewé par le site d’informations Atlantico sur le redressement fiscal concernant Google. Il a surtout dit que « Google aurait déclaré un chiffres…