L’euphorie dominait hier dans les rangs du Parti Populaire espagnol, mais aussi à l’IREF. La victoire écrasante d’Isabel Diaz Ayuso augure de beaux jours pour la liberté dans le «…
Espagne
Ce mardi 4 mai se tiendront les élections pour élire les députés de la région autonome de Madrid. Le Parti Populaire (droite conservatrice) guidé par la charismatique Isabel Diaz Ayuso…
Pablo Iglesias, leader du parti Podemos (proche idéologiquement de LFI), a décidé de se retirer du gouvernement pour concourir aux élections de la Communauté autonome de Madrid. Il y affrontera…
L’Italie, l’Espagne et la Roumanie : ces trois pays ont plusieurs points en commun. Ils ont été parmi les plus touchés en Europe par la crise de 2008. Pourtant ils affichent aujourd’hui une croissance économique solide. La raison ? Des réformes politiques courageuses et douloureuses afin de redresser leur marché du travail. Leurs gouvernements n’ont pas reculé devant les protestations sociales. Et s’ils inspiraient nos dirigeants ?
La dette publique de la France, c’est :
2.023,7 milliards d’euros au 30 juin 2014
95,1% du PIB au 30 juin 2014 et une estimation de 97% du PIB pour 2015
Plus de 45 milliards d’euros d’intérêts par an, soit plus de 7 fois le budget de la justice
Une charge d’intérêts de presque 700€ par Français et par an, dont un tiers est issu de nouveaux prêts
Plus de 30.600 euros par Français
Une augmentation de 1.300€ par an et par Français
En 1983, Jean-Pierre Chevènement démissionnait du poste de ministre de la Recherche pour protester contre « la parenthèse libérale » du deuxième gouvernement Mauroy. Fin août 2014, Arnaud Montebourg est limogé du poste de ministre de l’Economie pour avoir demandé un changement de la politique économique du gouvernement qu’il considère comme pro-entreprises (c’est-à-dire libérale). Les deux exemples montrent l’aversion des politiques envers le libéralisme économique. Et, dans les deux cas, les ministres se trompent.
Tout va mal en France. La croissance est en panne, les impôts sur le revenu ne rentrent pas. Les déficits du commerce extérieur et du budget restent importants. L’investissement des entreprises reste en berne. L’emploi continue de se dégrader malgré tous les faux emplois créés et les mille et un moyens de masquer le désastre. Mais les mouvements de rue qui ont eu lieu à Paris en juillet quand Barbès est descendu dans le centre de Paris ne sont que le symptôme de cette France coupée en deux et dont la révolte sourd comme cendres prêtes à reprendre le feu.
L’article de Nicolas Lecaussin consacré à la conférence sociale a été repris par le site FigaroVox (7 juillet) et aussi par le quotidien Le Figaro (8 juillet). Documents joints
La France est la première destination touristique européenne et espère attirer cette année plus de 87 millions de visiteurs. Le tourisme est un secteur important de notre économie, il contribue annuellement à 4 % de la création de richesse et emploie près de 3 millions de personnes directement ou indirectement. Pourtant, l’Assemblée Nationale vient de voter la hausse de la taxe de séjour (jusqu’à 8 euros par nuit et par personne selon les catégories d’hôtels). Selon les députés qui défendent cet amendement, cette taxe est beaucoup moins élevée en France – et notamment à Paris – que dans les autres grandes capitales européennes.
Le gouvernement de Mariano Rajoy a décidé de donner de l’air à son économie. Après avoir fait des coupes massives dans les dépenses publiques (de 47 % du PIB en…