Jamie Dimon, le PDG de JP Morgan Chase, s’est excusé cette semaine pour avoir plaisanté sur le Parti communiste chinois. Il était à Hong Kong et a fait une blague…
entreprises
Laurent Wauquiez s’est exprimé à plusieurs reprises ces derniers jours devant des publics divers, plus ou moins restreints. Notre administrateur Alain Mathieu a eu la chance de l’entendre et nous livre ci-après sa synthèse de ses propos
Les syndicats se frottent les mains : la semaine de quatre jours sera testée en Espagne l’an prochain, sur 200 entreprises volontaires. Sans doute n’aura-t-on que du bien à en…
Jean-Luc Mélenchon crache sur Amazon… sauf quand cela lui profite
Jean-Luc Mélenchon est, comme toute la gauche, un ardent opposant au système d’Amazon, de sa réussite économique, forcément louche, à son modèle de travail, forcément déplorable. Pourtant Amazon lui rend…
Largo Winch vu par la Banque de France, une idée étriquée de l’entreprise
Connaissez-vous Largo Winch ? C’est un héros de bande dessinée, créé par le célèbre scénariste belge Jean Van Hamme, père d’autres séries très connues comme Thorgal, XIII ou Les Maîtres de l’Orge.
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Seconde composante de la CET (cotisation économique territoriale), la CVAE est assise, depuis 2010, sur la valeur ajoutée produite par les entreprises. Elle s’applique aux entreprises situées dans le champ d’action de la CFE, c’est-à-dire celles dont le chiffre d’affaires est supérieur à 152 500 €. Précisément, la base d’imposition est constituée de la valeur ajoutée produite par l’entreprise plafonnée à 80% du chiffre d’affaires, lorsque celui-ci est inférieur à 7,6 M€ et à 85% au-delà. Le taux de CVAE est légalement fixé à 1,5%. Un dégrèvement a été mis en œuvre par l’État pour diminuer la pression fiscale sur les petites entreprises et, de 152 500€ de chiffre d’affaires à 500 000€, la taxe n’est pas perçue mais compensée par l’État auprès des collectivités.
Bruno Le Maire, pour augmenter les salaires, baissez les charges !
Mercredi 17 novembre, le ministre de l’économie Bruno Le Maire était l’invité de Sud Radio, non pas pour la promotion de son dernier livre, mais pour appeler les entreprises des…
La gauche et l’administration Biden veulent faire main basse sur le vaccin Moderna
L’administration Biden et les démocrates prétendent que le laboratoire Moderna n’a pas inventé son vaccin contre le Covid. Pour eux, ce serait l’œuvre d’un organisme public : le National Institutes…
Amazon et les autres GAFA (Google, Apple et Facebook devenu Méta) sont la cible des responsables politiques et des médias. Le Point faisait d’ailleurs une de ses dernières Unes sur la question : Comment Google, Amazon et les autres achètent la France ? De nombreuses directives européennes sont en cours de rédaction et de débats, comme les DMA et DSA (Digital Market Act et Digital Service Act) pour réglementer les activités numériques. La souveraineté numérique, européenne et française, est un grand sujet pour nos gouvernants. Le fait que chaque tentative d’établir une souveraineté numérique se soit soldée par un échec prévisible et un phénoménal gaspillage d’argent du contribuable ne semble pas les préoccuper plus que cela.
Quelle est en réalité la faute des GAFA, si ce n’est la réussite commerciale ? Avoir réussi semble être une condition suffisante pour que soient poursuivies des foudres publiques ces entreprises qui apportent des services de grande qualité aux usagers européens (et mondiaux), particuliers comme entreprises.
Si nos gouvernants souhaitent réglementer et taxer ces géants du numérique, nos entreprises nationales de la grande distribution, elles, souhaitent les concurrencer. Une manière de gagner des parts de marché, de se développer et d’offrir de nouveaux services aux clients.