Pourquoi les gouvernements veulent-ils taxer plus les entreprises tout en leur donnant encore plus de subventions ? C’est la question qu’il faut se poser alors que les chefs d’Etat vont…
emplois verts
La croissance du CO2 est peut-être une conséquence, plutôt qu’une cause, du réchauffement
L’IREF milite en permanence contre les gaspillages d’argent public. Or les plus gros gaspillages sont actuellement, et seront encore plus, les gaspillages faits au nom de l’écologie. Le plan de relance français prévoit de consacrer aux dépenses écologiques 30% de ses 100 milliards.
Les éoliennes subventionnées ne font pas baisser les émissions de CO2, puisque leur construction consomme de grandes quantités de ciment et d’acier et qu’elles ne tournent que 23 % du temps, relayées pour plus des trois quarts du temps par des centrales thermiques (les seules capables de remplacer les centrales nucléaires que l’on va fermer) dont le coût de revient et les émissions de CO2 sont très supérieurs à ceux des centrales nucléaires.
L’inquiétant programme des Verts pour les élections départementales et régionales de 2021
Fort de ses résultats aux élections municipales de mars et juin 2020 avec 7 villes de plus de 100 000 habitants conquises (Lyon, Strasbourg, Bordeaux, Tours, Annecy et Besançon, et Grenoble déjà gagnée en 2014), auxquelles on pourrait ajouter Marseille, le parti Europe Écologie Les Verts (EELV) se prépare pour les élections départementales et régionales de 2021.
La « vague verte », comme l’ont parfois appelée les commentateurs politiques, est cependant à relativiser pour plusieurs raisons. La première est que la plupart de ces victoires sont dues à des alliances avec les autres partis de gauche dès le premier tour. La seconde est que les villes de moindre importance n’ont pas cédé à la tentation verte. Si l’on étend le spectre aux 3 168 villes de plus de 3 500 habitants, on remarque que EELV n’en a remporté qu’une trentaine. Moins de 1 %. La « vague verte » ressemble davantage à un clapotis qu’à un tsunami !
Le « bio » a conquis l’assiette de nombreux Français et témoigne de préoccupations alimentaires légitimes de la population. Dans ce nouveau rapport, l’IREF analyse les prétendues vertus de cette consommation et montre, littérature scientifique à l’appui, que l’agriculture dite « biologique » ne tient pas ses promesses. L’IREF propose d’abandonner l’interventionnisme massif et coûteux de l’État en faveur de cette pratique pour permettre le libre choix alimentaire des consommateurs.
L’État va devoir trouver 900 millions d’euros pour garantir les engagements pris par l’AFITF – Agence de financement des infrastructures de transport de France.
Encore un scandale fiscal pour le gouvernement ?
Et si l’ « économie verte » n’était qu’une vaste tromperie ? La mode est en effet à « verdir » toutes les activités, de façon à faire croire que l’écologie est le moteur de l’économie. Lucas Léger, chercheur à l’IREF, démasque la supercherie.
L’IREF répond à Michael Jacobs, qui a attaqué une étude que notre Institut avait consacrée aux effets dévastateurs des emplois verts. Cette attaque ne repose sur aucune donnée, elle est purement idéologique. Les vrais emplois verts créés sont ceux des personnes et des instituts qui vivent de l’argent public au prétexte de défendre la planète.
Sauver la planète et réduire le chômage : quelle performance ! Le gouvernement annonce la création de 100.000 emplois verts. Mais un emploi vert a pour particularité de supprimer plusieurs emplois réels. L’échec des emplois verts a été calculé dans tous les pays qui les ont essayés. L’IREF a montré qu’un emploi vert en France peut coûter jusqu’à 400 000 euros, presque 8 fois plus qu’un emploi dans le privé.
Le président Obama avait lancé un programme de 10 Milliards de dollars en 2009 pour encourager la création d’emplois verts dans l’industrie américaine. Aujourd’hui, l’administration affirme qu’environ 100 000 emplois auraient été créés grâce à ce programme. Ce qui revient tout de même à 100 000 dollars l’emploi.
Au hasard de la campagne , on peut glaner des informations assez surprenantes dans le domaine de la fiscalité. Maître Jean Philippe Delsol, administrateur de l’IREF a fait une bonne récolte : dettes, gaspillages, niches, emplois verts et, naturellement tranche à 75 %.