Tous les politiques français se réclament aujourd’hui du gaullisme. De gauche ou de droite, ils vantent les mérites d’une France dirigée par le Général avec, selon eux, sa grandeur et ses exploits. Ils oublient que c’était aussi une France centralisée, interventionniste et de plus en plus bureaucratisée et aussi une société en plein changement avec à sa tête, comme l’écrit Jean-François Revel dans son essai, Le style du Général, un homme avec la « manie de grandeur » et qui se considérait comme une « incarnation perpétuelle de la France éternelle ».
Démocratie
Les enjeux des élections fédérales canadiennes du 20 septembre
Le 20 septembre prochain auront lieu les élections fédérales canadiennes. Les canadiens éliront leurs députés à la chambre des communes deux ans avant la date prévue. En effet, l’actuel premier ministre Justin Trudeau a déclenché la dissolution de l’assemblée. Les électeurs auront le choix entre reconduire leur confiance envers leur premier ministre actuel ou porter à Ottawa un autre gouvernement, conservateur selon les sondages.
Pour décrypter les enjeux de cette élection, Aymeric Belaud a interviewé pour l’IREF M. Daniel Dufort, chercheur associé à l’Institut économique de Montréal (IEDM).
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D’après un sondage, les jeunes sont de plus en plus nombreux à plébisciter le libéralisme
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Cancel culture : réécrire l’histoire est absurde, il faut la compléter
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Nommée ministre des Solidarités et de la Santé en 2017, Agnès Buzyn avait, dès que l’épidémie s’était montrée plus virulente que prévu en février 2020, fui ses responsabilités pour tenter, de manière aussi peu glorieuse, de devenir maire de Paris. Dans ses fonctions, elle avait accumulé les bévues et les preuves de son incapacité jusqu’à son épisode de sortie suivi de ses déclarations lamentables autant que larmoyantes en juin 2020 : Quand j’ai quitté le ministère, je pleurais parce que je savais que la vague du tsunami était devant nous. (…) Depuis le début [de la campagne municipale], je ne pensais qu’à une seule chose : au coronavirus. On aurait dû tout arrêter, c’était une mascarade, alors même qu’avant sa démission, elle avait évoqué des risques très faibles de propagation massive du Covid-19. Elle essayait sans doute ainsi de faire oublier ses responsabilités pendant qu’elle se faisait recaser dans un poste plus tranquille et peut-être plus lucratif comme représentante de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).