Les données présentées dans le rapport indiquent que les gouvernements qui ont mis en œuvre des réformes fiscales en ont récolté les fruits sous la forme d’un coup de fouet aux investissements et à la croissance. Là où la pression fiscale est moins élevée, le nombre de nouvelles entreprises et le montant des investissements est le plus élevé.
croissance économique
En 2010, les Français seront autorisés à verser à un fonds de pension de leur choix une partie des cotisations vieillesse qu’ils payent actuellement à la Sécurité Sociale, ils pourront…
Depuis des mois et des années, les médias nous inquiètent sur le sort de la planète, les propos des verts nous font voir tout en noir. Ce petit livre propose…
On ne peut que se réjouir de l’initiative du gouvernement qui vient de confier (fin juillet) à 31 opérateurs privés l’accompagnement de 320 000 chômeurs dans leur recherche d’emploi. Mais il faudra aller plus loin et instaurer une concurrence entière comme cela existe ailleurs en Europe.
D’après les médias et de nombreux analystes, le modèle social français résisterait mieux à la crise actuelle. Une assertion qui ne résiste pas une seconde à l’épreuve des faits.
Les Etats ne savent plus comment combattre la crise et font la chasse aux contribuables et aux pays à fiscalité réduite. Ils ont trouvé un autre bouc-émissaire – le secret bancaire – et un nouveau gendarme mondial : l’OCDE.
Toute baisse de la pression fiscale, même si elle est insignifiante, est justifiée. Toutefois, mieux vaut une vraie réforme de la TVA et la concurrence fiscale.
De l’imposition à la justice : Au-delà de la recherche d’un « impôt juste »
Résumé : La fiscalité est devenue un enjeu politique majeur dans la plupart des pays développés. Les tendances démographiques renforcent la menace potentielle d’une pression accrue sur les contribuables pour financer les programmes sociaux existants, tandis que la concurrence institutionnelle entre pays d’Europe et d’autres régions joue un rôle de plus en plus décisif pour la maîtrise des finances publiques.
L’Endettement de l’Etat – stratégie de croissance ou myopie insouciante?
Résumé: Le présent travail porte sur la relation entre la dette de l’Etat et la croissance de l’économie nationale. Renonçant à fournir un modèle synthétique du rôle de la dette dans une économie, nous avons préféré nous concentrer sur quelques aspects du problème qui nous paraissent essentiels.
L’endettement de l’Etat : stratégie decroissance ou myopie insouciante ?
1. L’endettement de l’Etat a connu une forte croissance depuis les années 1980. En 2003, elle dépasse les 63% du PIB si l’on fait la moyenne de 25 pays de l’UE, et 70% du PIB si l’on se limite aux pays de la zone Euro. La situation est encore plus alarmante si l’on compare la dette de l’Etat, non pas au PIB, mais aux recettes de l’Etat.