Serions-nous entrés dans une ère de glaciation économique ? Les agressions et oppressions fiscales qui se multiplient en France créent un climat d’incertitude et de découragement des acteurs de la vie économique. Inventaire de ces mesures.
croissance économique
Les dernières prévisions de croissance faites par la Banque Mondiale viennent de tomber. Et elles ne sont pas réjouissantes pour la zone euro : moins de 1 % en 2013…
La source budgétaire se tarissant, il va falloir au gouvernement trouver de nouveaux moyens de financer l’investissement public, estimé si nécessaire à la croissance (à voir !). Une bonne adresse : la finance privée. Lucas Léger, chercheur à l’IREF, explique quelques-unes des innovations proposées par les vilains financiers.
Après un effort pour réduire les dépenses publiques, le gouvernement de la Lituanie face à la crise a voulu augmenter les impôts en 2008. La croissance a été stoppée et les recettes fiscales ont diminué de moitié. Austérité ne signifie pas fiscalité.
L’IREF anime une équipe de chercheurs en Europe et ailleurs dans le monde avec lesquels il développe un programme actif d’études dont l’objet est généralement lié aux problèmes économiques et fiscaux auxquels l’actualité nous confronte. Ces études sont, pour la plupart d’entre elles, publiées en anglais. Nous en donnons ici un bref résumé en français et nous invitons nos lecteurs anglophones intéressés par le sujet à s’y rapporter grâce au lien indiqué à la fin de ce résumé.
6. Croissance : six fois plus élevée aux Etats-Unis qu’en France Malgré notre modèle social qui nous protège et qui assure notre bien-être depuis environ 50 ans, l’économie française s’enlise…
Lorsqu’un gouvernement veut se déculpabiliser en matière économique, il fait diversion. C’est ce que vient de faire le gouvernement argentin en nationalisant la compagnie pétrolière YPF. En l’accusant de «…
La récession menace les budgets puisque les recettes fiscales diminuent. Ces déficits, en dessous de 3 % du PIB, n’ont pas inquiété ceux qui ont signé les accords de Bruxelles. Mais ils ont avalisé aussi la possibilité de « déficits structurels » qui n’ont rien à voir avec les aléas de la conjoncture. Ce laxisme n’a pas échappé à la vigilance de Maître Jean-Philippe Delsol, administrateur de l’IREF.
« On préfère être Français que Britannique », dit Monsieur Baroin. Les chiffres récoltés par Nicolas Lecaussin, directeur du développement de l’IREF, disent le contraire. Jugez sur pièces.
La dette publique n’est pas une affaire d’Etat
On a fait de la dette publique une affaire d’Etat : on parle de dette « souveraine ». Mais c’est avant tout une affaire qui concerne tous les particuliers, car il n’y a pas de miracle : ce sont eux qui payent déjà, et continueront de payer. C’est ce que révèle une étude de deux chercheurs de l’IREF, le Pr.Pierre Garello et Vesselina Spassova, menée et rédigée à la demande de Contribuables Associés. Analyse reprise de la Nouvelle Lettre.