Les sociétés militaires privées (SMP ou ESSD) constituent un secteur économique en pleine croissance. Présentes sur la plupart des fronts d’engagements comme la Syrie, l’Irak ou l’Ukraine, elles témoignent d’une privatisation partielle du domaine régalien. Dans cette branche dominée par les Etats-Unis et la Russie, la France a des atouts.
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Kamala Harris veut équiper les soldats américains avec des… panneaux solaires
Barbara Pompili semble faire des émules Outre-Atlantique. Lors d’un discours à l’académie navale américaine, la vice-présidente Kamala Harris a eu un éclair de génie : et si l’on équipait les…
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Tribune de généraux à la retraite : révélation d’une chasse aux sorcières
“Déshonneur des généraux français”, “putsch”, “coup d’État”, les médias et hommes politiques n’en finissent plus de vouer la tribune des généraux, publiée la semaine dernière sur le site de Valeurs…
Ce n’est un secret pour personne, l’Etat français entretient des connivences très fortes avec les acteurs industriels de la défense. Rien qu’en 2019, la Direction générale de l’armement a acheté pour 13,4 milliards d’euros de matériel militaire.
D’après la politologue C. Hoeffler [[Maîtresse de conférences à Sciences Po Bordeaux, spécialisée des questions de défense. De l’influence de l’Etat sur les politiques industrielles de défense]], il existe deux modèles industriels de défense : soit libéral, soit protectionniste-national. Elle distingue ensuite trois catégories pour décrire l’influence de l’Etat dans l’économie de la défense : l’Etat actionnaire-producteur, l’Etat acquéreur, l’Etat législateur.