En début de semaine, Barbara Pompili présentait la fameuse loi Climat à l’Assemblée nationale dans un plaidoyer vibrant. L’écologisme, avec ses zones à faibles émissions, ses normes contraignantes pour les propriétaires et ses menus végétariens à la cantine, est apparemment la seule façon de répondre à “l’urgence climatique”.
Barbara Pompili a appelé l’Assemblée nationale à adopter la loi Climat pour permettre à chaque citoyen d’avancer vers le monde auquel elle aspire. On ne peut que déplorer son refus de comprendre que la marche vers ce monde ne passe pas par des règles, des normes et des taxes, mais bien par une libéralisation des entreprises pour leur permettre d’innover. L’écologie n’est pas “une réponse à une grande part des maux contemporains de notre pays”, mais le catalyseur de ces maux. L’écologie empêche les propriétaires de louer leurs appartements et prive leurs potentiels locataires de logement. Les zones à faible émission créent des bulles de pollution dues aux bouchons interminables à l’entrée de ces zones. Les menus végétariens à la cantine privent certains enfants du seul menu équilibré de leur journée.
Les 150 citoyens portés aux nues par Barbara Pompili n’ont pas fait progresser la démocratie. Bien au contraire, ils participent à son basculement au service d’idées minoritaires contraignantes pour tous.
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Barbara Pompili la spécialiste du rossignol ? (crochet pour serrures).
Chante beau merle, chante ! l’escrologie est un des nombreux désaxements de ce gouvernement.
Au lieu de nourrir nos pauvres il vaut mieux arrêter la fonte des glaciers avec vos petits bras musclés, n’est-ce pas ?