En 2007, juste avant la crise, les 1 % des plus riches américains payaient 39.5 % du total de l’impôt sur le revenu, plus de 57 % de l’impôt sur les sociétés et 4.1 % du total des charges sociales. Cela représentait 26.5 % de tous les impôts fédéraux. Sous le président Clinton, les 1 % les plus riches payaient 21.8 % du total des impôts et 13.8 % avant les baisses d’impôts de Reagan. A cette époque, le taux maximum était de 70 %. On voit que plus on baisse le taux d’imposition, plus les rentrées fiscales augmentent. A remarquer aussi qu’entre 2007 et 2009, le nombre de riches avec des revenus supérieurs à 1 million de dollars a baissé de près de 40 %. Les rentrées fiscales ont, elles aussi, baissé de 27.8 % à 20.5 %. Matraquer les riches ne fait que baisser les rentrées fiscales. (Alan Reynolds, Cato Institute)
Moins d’impôts pour les riches c’est plus de rentrées fiscales
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