Pour Erwan Quéinnec, Maître de Conférences en sciences de gestion à l’université Paris 13, le GIEC ressemble davantage à un organisme d’experts en assurance qu’à un organisme scientifique.
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6 commentaires
La traduction officielle de IPCC en GIEC est basée sur une imposture et une omission :
1/ Imposture : La traduction de « panel » en « groupe d’experts » est une faute. Les « vrais » dictionnaires définissent un panel comme « un groupe de personnes constitué en vue d’un sondage ». Le sens « groupe d’experts » n’est apparu que dans les années 90 et uniquement dans le Petit Larousse suite à la traduction abusive dont question ici.
2/ Omission : Suivant les statuts tant de l’IPCC que du GIEC, il manque un « A » final pour « Anthropic/que » : « IPCCA = Intergouvernemental Panel for Climate Change of Anthropic origin » et GIECA – Groupe Intergouvernemental pour le Changement Climatique d’origine Anthropique (ou mieux PICCA – Panel Intergouvernemental pour le Changement Climatique d’origine Anthropique).
Ces deux points sont importants et permettent de comprendre que cet organisme n’est jamais qu’une agence chargée de recruter et subsidier des chercheurs pour étudier l’influence humaine sur le climat.
Et rien d’autre…
Ce n’est une démarche scientifique que dans la mesure où les autres influences ont éliminées, scientifiquement et non arbitrairement ou même idéologiquement.
correction :
Ce ne serait une démarche scientifique que dans la mesure où les autres influences auraient été éliminées, scientifiquement et non arbitrairement ou même idéologiquement.
Vous avez tout dit ! Le plus hallucinant est la conspiration du silence des politiciens et des médias sur cette scandaleuse manipulation de l’opinion. Seuls les climato-réalistes et des auteurs comme Christian Gerondeau ou Steven Koonin le dénoncent.
On oublie surtout le premier élément : Intergovernmental, aisé à traduire en intergouvernemental ! Il n’y a nul élément scientifique dans sa définition, ce n’est qu’un forum de hauts fonctionnaires (donc nommés à la discrétion des politiciens au pouvoir) qui utilisent des rapports d’experts qu’ils commandent, choisissent et interprètent à l’appui des orientations de leurs gouvernements respectifs. La transposition en GIEC est une forgerie mondialiste, sauf à le définir en Groupement Intergouvernemental pour l’Étude du Changement climatique ! Aucun élément scientifique là-dedans !
Le GIEC est présenté comme un panel d’experts mais one dit pas en quoi ils sont experts… et comme dit précédemment, ce ne sont pas des experts du tout.
Leur rôle est de compiler les résultats des études scientifiques disponibles sur le sujet et d’en faire des condensés.
C’est tout.
Après reste à voir si ces documents sont orientés ou pas… vu l’absence d’éléments contradictoires on peut se demander !
les membres du GIEC ne sont pas des scientifiques pour la plupart.
Rien à ajouter aux commentaires. Le GIEC n’est qu’une escroquerie à l’échelle mondiale et orchestrée par des politiques pour leur seul profit.