Le Journal Officiel publiait au début du mois l’ordonnance remplaçant l’ENA par l’INSP (Institut national de service public). Emmanuel Macron a choisi de suivre les recommandations du rapport de Frédéric Thiriez, écrit début 2020. Ce rapport ne remet pas en cause l’existence de l’ENA, mais plutôt son mode de fonctionnement. L’IREF souhaite la disparition de l’ENA.
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Comme à son habitude, le Conseil économique, social et environnemental (CESE) envoie à l’IREF ses multiples avis en format papier, d’une centaine de pages chacun. Les membres de cette institution fourmillent d’idées et nous le font savoir. Dans les exemplaires de ces derniers mois, on trouve des sujets variés comme la redynamisation des centres-villes et centres-bourgs, l’alimentation durable, les reconversions professionnelles, l’école à l’ère du numérique, les investissements d’avenir, les inégalités de genre, la gouvernance des données, et bien d’autres encore ! Ce sont près d’une quinzaine de livrets papier (souvent en double exemplaire) que nous avons reçus depuis le début de l’année. S’ils sont envoyés à tous les think-tanks et médias, cela représente des tonnes de papier. On ne peut pas dire que le CESE soit dans la démarche écoresponsable qu’il aimerait pourtant imposer aux Français. Le dernier rapport en date s’intitule « Face au choc, construire ensemble la France de demain ». Le choc, c’est surtout de découvrir que cette « France de demain » serait encore plus étatiste qu’actuellement.
La Turquie du sultan Erdogan sombre dans la dictature à mesure que le régime durcit sa politique. A l’aube des années 2000, le régime s’était démocratisé afin de répondre aux exigences de l’Union européenne, condition préalable à une potentielle intégration. Ce temps est révolu. Depuis la révolte de Gezi, puis le coup d’Etat manqué de 2016, Erdogan a imposé son pouvoir d’une main de fer à un pays sonné par la brutalité et la rapidité de son action. L’économie souffre de ce virage autoritariste et une partie de la population s’est paupérisée à mesure que l’Etat renforçait son emprise sur l’économie.
Qu’est-ce que la vérité ? Comment la connaître ? Vaccins, réchauffement climatique, comment chercher la vérité ?
Tabagisme : le gouvernement met l’échec de sa politique sur le dos du Covid-19
Comme chaque année, à l’occasion de la Journée mondiale sans tabac (31 mai), Santé Publique France, bras armé du gouvernement en matière de santé, a publié les chiffres du tabagisme pour l’année 2020. Ils ne sont pas bons ! En cause, selon les autorités publiques, la pandémie de Covid-19. Et si c’était plutôt la politique actuelle faite d’interdictions, de taxation et de culpabilisation qui échouait ?
Interview de Nicolas Forissier, député Les Républicains de l’Indre, ancien ministre, conseiller régional et candidat aux prochaines élections régionales en Centre-Val de Loire.
Dans la préface au livre Les Damnés de la terre de Frantz Fanon, Jean-Paul Sartre écrit « Abattre un Européen c’est faire d’une pierre deux coups, supprimer en même temps un oppresseur et un opprimé : restent un homme mort et un homme libre ». Il défend ainsi le meurtre des civils blancs, comme il avait déjà manifesté sa haine envers les anti-communistes et les Américains par de terribles phrases restées célèbres. Au nom du progressisme, le crime est justifié, l’ennemi étant forcément coupable. C’est ce qui se passait dans les dictatures communistes qui avaient mis fin à la justice « bourgeoise ». Les procès n’avaient qu’un seul but, la condamnation des « ennemis du peuple » au nom de l’idéologie du Parti. Se dirige-t-on vers le même système en Occident ? Plusieurs signaux nous inquiètent.
Malgré les discours alarmistes d’un certain nombre de politiques et de médias, le capitalisme et le libéralisme économique sont loin d’être morts. Mieux, l’entreprenariat et ses bienfaits pour la société continuent d’être soutenus par la majorité des Français et des autres populations européennes et d’Amérique du Nord. Une valeur qui doit être considérée comme le principal vecteur de sortie de crise.
L’absentéisme est un phénomène majeur au sein de l’Assemblée nationale. Le taux de participation des députés aux votes en séances publiques est estimé à 18%, situation en partie due à la surabondance de réunions concomitantes. Autre phénomène regrettable: l’inflation législative. En 2017, l’équivalent de 75 000 pages a été publié au Journal officiel.
Entre logement social et aide personnelle au logement, il faudra choisir !
Dans son rapport annuel de l’année dernière, avant la crise sanitaire donc, la Cour des comptes, soulignait que les modes de distribution des différentes aides au logement n’avaient pas changé depuis 2013, date de la publication de son rapport sur la question qui avait à l’époque retenu toute notre attention. Depuis, les différents ajustements adoptés ne règlent aucun des problèmes de fond soulevés par un système de distribution des deniers publics que notre pays ne peut plus soutenir.