Négation des tortures des Ouïghours, glorification du régime maoïste, la revue Dialogue menée par une philosophe française ne recule devant rien pour faire la propagande de Pékin.
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Ces dernières années, les Pays-Bas se sont distingués au niveau européen. Porte-parole régulier des Frugal Four, Amsterdam acquiert une influence non négligeable sur le continent, en devenant la première place financière d’Europe en volume de transactions. Place qui était détenue jusqu’en janvier 2021 par Londres. Depuis le Brexit, les médias français ont rapporté que le poids financier de Paris serait renforcé. Toutefois, force est de constater que les financiers sont plus intéressés par les Pays-Bas que par la France. Et ce n’est pas un hasard : l’économie et la politique néerlandaises présentent des atouts non négligeables. S’il est trop tôt pour observer un éventuel bénéfice pour le Royaume-Uni, le Brexit est, en revanche, en train de renforcer les Pays-Bas. Une bonne nouvelle pour le libéralisme sur le continent.
La Zone de libre-échange continentale africaine : Un potentiel changement de donne pour le commerce régional et international africain
En 2018, les chefs d’État africains ont signé un accord qui a finalement donné vie à la Zone de libre-échange du continent africain (ZLECA). En juillet 2019, 54 des 55 États de l’Union africaine avaient signé cet accord, l’Érythrée étant le seul pays à ne pas y adhérer. Enfin, le 1er janvier 2021, l’Union africaine a officiellement lancé la ZLECA, une étape vers l’intégration continentale et le principal objectif de l’Agenda 2063 de l’Union africaine. Il s’agira de la zone de libre-échange la plus importante au monde, avec le plus grand nombre de pays membres, et elle devrait changer la donne dans la manière dont les Africains commercent entre eux et avec le reste du monde.
Les Français ne sont décidément pas assez taxés selon les rédacteurs du projet de la loi climat, qui propose encore plus de taxes et normes environnementales. L’occasion pour l’Etat de s’inviter au volant de votre voiture, dans vos maisons, dans vos assiettes. Au nom de la planète.
Samedi 13 février 2021, Mario Draghi a prêté serment comme président du Conseil italien. Qu’est ce que les Italiens peuvent attendre de leur nouveau chef du gouvernement, composé de membres issus d’une large coalition, par nature instable ?
Bien sûr qu’il existe et que ceux qui y participent s’en défendent et le nient. A dire vrai, il n’y pas un islamo-gauchisme mais des convergences qui se créent et des groupuscules actifs qui s’utilisent les uns les autres. Il y a des sectes islamiques aussi multiformes que les mouvances du gauchisme. Elles se rassemblent volontiers pour lutter contre leur ennemi commun que sont la société libérale et l’Occident dans leur diversité, leur richesse culturelle, leur ouverture, leur liberté, leurs racines judéo-chrétiennes. Le philosophe Carl Schmitt, qui flirtait avec le nazisme, a déjà démontré tout ce que de nombreuses alliances idéologico-politiques doivent à ce qu’elles combattent plus qu’à ce qu’elles promeuvent. Ce qui évidemment est aussi la marque de leur fragilité, comme furent réelles et néanmoins changeantes les alliances d’Hitler ou de l’URSS avec l’Islam.
Les énergies renouvelables ne supportent pas le froid : les écolos veulent-ils supprimer l’électricité en hiver ?
Ce début d’hiver 2020/2021 marque le retour du froid, mais rien de bien étonnant. Pourtant, que ce soit en Europe ou en Amérique, ce froid a provoqué des problèmes de production et de distribution de l’électricité. Des millions de foyers à travers l’Occident ont subi des coupures de courants mais aussi une hausse des prix considérable. Le coupable ? C’est l’énergie dite renouvelable et en particulier l’éolien, préféré aux autres sources de production par pur dogmatisme.
Face à la résurgence de la tentation du tout collectif, revenir aux leçons de Jean-François Revel
La crise du Covid-19 aura remis au premier plan de nos sociétés les valeurs du tout collectif. Le 15 octobre 2020, Emmanuel Macron déclarait ainsi : « On s’était progressivement habitué à être une société d’individus libres, nous sommes une nation de citoyens solidaires ». Remarquons ici deux choses : la substitution du mot « citoyen » au mot « individu » ; l’opposition apparente entre « liberté » et « solidarité ».
Vous vous souvenez du film New York 1997 ? Le scénario de science-fiction transforme une partie de la ville, tombée en ruines, en une prison de haute sécurité où divers personnages, tous plus louches les uns que les autres (incarnés par des acteurs de talent comme Kurt Russel, Donald Pleasance ou Ernest Borgnine) s’affrontent dans des scènes d’une terrible violence. Intrigue visionnaire ? Sans aller jusque-là, ce qui se passe de nos jours dans l’Etat de New York et dans sa belle ville pourrait inspirer un autre scénario, tout aussi inquiétant et bien réel celui-là.
Qui paye commande. Selon ce vieil adage, la Commission européenne a élaboré un plan de relance de 750 Md€ sous forme de subventions et de prêts aux Etats pour faire face aux risques économiques liés à la crise sanitaire. Ce plan a été adopté à une écrasante majorité le 10 février par le Parlement européen. Mais cette manne monétaire sera versée sous condition. Pour être éligibles à ces fonds, les Etats devront élaborer un plan national pour leur utilisation et le soumettre à la Commission d’ici la fin avril 2021 en détaillant les réformes et investissements prévus qui devront obligatoirement consacrer au moins 37% des sommes allouées à des mesures en faveur du climat et au moins 20% à la transformation numérique.