Alors que l’examen du projet de loi « Climat et résilience » continue de tenir en haleine les observateurs de la vie législative, le Sénat a rejeté l’approche punitive de…
Romain Delisle
Le Sénat rejette la généralisation des menus végétariens à l’école
Les sénateurs ont entamé l’examen du titre V, « se nourrir », du projet de loi climat et résilience. L’article 59, sur les menus végétariens à la cantine, déchaîne les…
L’Assemblée nationale adopte la nouvelle rédaction du projet de loi constitutionnel relatif à la préservation de l’environnement
L’Assemblée a adopté hier une nouvelle mouture du projet de loi constitutionnelle « complétant l’article 1er de la constitution et relatif à la préservation de l’environnement », lors de son…
Référendum sur l’avenir de la Nouvelle-Calédonie : plus de questions que de réponses
La chaleur des mois d’été, des quais noirs de monde, des enfants, des vieillards, des familles transportant leurs maigres biens dans des valises, des soldats perdus, des illusions envolées et ce sentiment de déclin qui comme un coucher de soleil étreint le cœur de n’importe quel patriote…
En juin 1962, l’Algérie française avait vécu et avec elle cette immense impression de grandeur et d’universel qui l’accompagnait. On ne vit pas sur des souvenirs mais les souvenirs peuvent refaire surface.
Le 12 décembre, se tiendra le dernier des trois référendums sur l’indépendance de la Nouvelle-Calédonie, les deux premiers ayant vu la victoire de l’option du maintien de l’île au sein de la France à 56,7 et 53,3% en 2018 et en 2020.
À la fin du mois de mai dernier, un document confidentiel dépeignant l’état des réflexions du Gouvernement sur les conséquences de l’indépendance, appelé « Discussions sur l’avenir institutionnel de la Nouvelle-Calédonie. Les conséquences du oui et du non », a fuité.
Force est de constater que celui-ci soulève plus de questions que de réponses, mais laisse un sentiment de crainte quant à la possibilité d’abandon de l’île par la métropole.
Le Sénat octroie un droit de véto aux maires sur l’installation de nouveaux projets éoliens
Au terme d’une semaine d’examen du projet de loi climat et résilience, le Sénat a adopté, à l’initiative de la commission des affaires économiques, un article 22 Bis, qui fixe…
Le Gouvernement rejette la proposition communiste d’individualiser l’allocation aux adultes handicapés (AAH)
L’individualisation de l’AAH (allocation aux adultes handicapés) était examinée hier à l’Assemblée nationale dans le cadre de la proposition de loi « portant diverses mesures de justice sociale », dont…
Le Sénat rejette le dispositif « Oui pub » du projet de loi climat et résilience
Alors que se poursuit l’examen en séance du projet de loi climat au Sénat, le Gouvernement a échoué à réintroduire le dispositif « Oui Pub », écarté par l’Assemblée nationale…
En octobre 2020, le journal de l’Île-de-la-Réunion révèle que Dhoihir Dhoulkamal, nommé ministre des Affaires étrangères de l’Union des Comores, a réussi à se faire passer pour un ressortissant français d’origine mahoraise sans revenu et de ce fait éligible aux dispositifs RSA et CMU.
Un événement qui ravive notamment le débat sur l’aide médicale d’État (AME), qui agite la société française depuis plus de dix ans. Débat houleux souvent mais qui se limite aux plateaux de télévision. En réalité, rien ou presque n’a été mis en œuvre pour endiguer son impact faramineux sur les finances publiques, alimenté par l’effet de pompe aspirante pour l’immigration.
La Cour des comptes dévoile sa stratégie financière de sortie de crise
En février dernier, la Cour des comptes avait été missionnée pour travailler sur les priorités de l’action publique après la crise sanitaire. Habituée à préconiser des mesures d’austérité, la Cour…
Faut-il fusionner l’Allocation spécifique de solidarité (ASS) et le Revenu de solidarité active (RSA) ?
En juin 2018, le ministre de l’Economie et des Finances, Bruno le Maire, avait déclaré sur Europe 1 qu’il serait “légitime de réduire la politique sociale sur l’emploi”. Une parole qui en avait effarouché plus d’un dans la mesure où elle évoquait l’hypothèse d’une extinction de l’aide destinée aux chômeurs ayant épuisé leurs droits, l’allocation de solidarité spécifique (ASS).
La suppression de l’ASS avait déjà été envisagée en 2014 dans un rapport de l’IGF et de l’IGAS (Inspection générale des affaires sociales), mais la ministre du Travail de l’époque, Myriam El Khomri, s’y était opposée. La crise sanitaire ayant bloqué toute les réformes, rien n’avait plus bougé. Le débat pourrait toutefois ressortir à la faveur des élections présidentielles de l’année prochaine.