La question de créer une taxe exceptionnelle sur les profits des entreprises continue d’occuper les esprits au Gouvernement, malgré le flou persistant sur la notion de « superprofit » : est-ce un taux de marge, un montant de bénéfices, une augmentation extraordinaire par rapport à l’année précédente ?
Dans cette affaire, tout est une question de sémantique : les mots utilisés, mais surtout ceux que l’on n’utilise pas, ont leur importance.
Ainsi, quand la Première ministre Elisabeth Borne affirme, dans un entretien au Parisien, que les entreprises doivent « rendre du pouvoir d’achat aux Français », il faut comprendre qu’elle veut créer une nouvelle taxe, la fameuse taxe sur les superprofits si chère à la NUPES, parce que, dans son esprit les « Français » et l’État se confondent.
Cet impôt supplémentaire sur les entreprises viendrait alimenter le budget de l’État qui fait pourtant déjà le plein de recettes supplémentaires – environ 55 milliards – grâce à la hausse des prix dont il est en partie responsable.
Si l’Etat tenait tant à ce que les Français puissent gagner en pouvoir d’achat, il pourrait pérenniser la baisse des taxes sur les carburants (de l’ordre de 50% du co^ut total) qui sont une des dépenses les plus importantes pour les plus modestes dans notre pays,notamment ceux qui résident dans la France rurale.
S’il tenait tant à ce que les Français souffrent moins dans la période complexe que nous traversons, il n’imposerait pas les zones à faibles émissions (ZFE) dans les métropoles qui obligent les conducteurs à changer un véhicule qui fonctionne très bien alors qu’ils n’en ont pas les moyens.
Comme l’écrivait Jean-Philippe Delsol il y a quelques jours, il est urgent de « supprimer tous ces systèmes d’intervention dont la logique est d’enfler à une vitesse vertigineuse et bientôt incontrôlable ».
3 commentaires
Encore un petit effort, nous serons bientôt au niveau de la Chine en matière de réglementations et impositions de toutes sortes !!
L’énarque, dès la naissance est atteint d’un virus qui le suivra toute sa vie : « L’énarcotechnocratosoviétos ».
Une fois adulte, il tente de jusitifier son activité en créant :
– Des hauts comités (liste impressionnante)
– Des hauts conseils d’orientation
– Des instances consultatives à vocation spécialisée et généraliste
– Le comité national de la refondation
– Les conseils nationnaux d’orientation avec leurs sous sections
Et j’en passe car si vous effectuez des recherches sur internet vous serez sidéré du nombre de comités théodules avec des milliers de personnages inutiles payés par vos impôts.
Il faut bien comprendre que l’énarque, incompétent de nature, a besoin de se rassurer en permanence en créant toutes ces structures parfaitement inutiles et coûteuses.
Il n’a jamais créé la moindre richesses et ne sait que dépenser avec l’argent des autres, celui du secteur privé qui, lui, se défonce en permanence pour faire vivre ces crétins avec leurs impôts, taxes sur les taxes, prèlèvements en tous genres.
L’énarque, lors de ces réunions diverses et variées, cogite intensément jusqu’à ce que son cerveau commence à chauffer. Une fumée s’échappe alors des oreilles de l’intéressé.
Il doit à cet instant reprogrammer son cerveau (une sorte de reset) afin de le faire repartir jusqu’à la prochaine fois !
L’énarque est parfaitement incapable de prévoir ce qui est gravissime lorsque vous dirigez un Pays !
L’énarque prendra systématiquement la mauvaise décision car il est programmé ainsi (cerveau monté à l’envers)
L’énarque peut effectuer des tours de force, comme par exemples, couler une entreprise en 3 mois, faire en sorte que la quasi-totalité de nos centrales nucléaires soient à l’arrêt pour manque d’entretien depuis des années.
Encore plus fort, couler la France en mettant soigneusement tous les voyants au rouge vif (dettes, déficits, gestion catastrophique, etc..)
Il faudra que l’on m’explique pourquoi les français en majorité adorent ces abrutis ??? puisqu’ils les élisent et réélisent ???
On nous prend pour des « cons » !!! Toutes les entreprises à forts profits sont domiciliées hors de France. Tiens demandez à cette bande d’abrutis où est domicilié Renault (entreprise semi publique s’il en est). Même l’Etat truande, et après tout, n’est-ce pas le premier des voleurs ?