Le très conservateur Etat de Floride a nourri l’actualité vendredi 1er juillet en adoptant la loi dite « Don’t say gay ». Elle vise à limiter l’entrisme de l’idéologie LGBT en interdisant aux enseignants de parler d’orientation sexuelle et d’identité de genre aux enfants de moins de 10 ans. Une mesure qui relève du bon sens tant la propagande non-binaire, transgenre et autre a désormais pignon sur rue dans les écoles américaines. Les élus de Floride estiment que c’est aux parents et non à l’école, de parler de ces sujets à leurs enfants et non à l’école. Les associations LGBT ont immédiatement répliqué en qualifiant cette loi d’homophobe et en taxant le gouverneur « d’extrémiste ». Pourtant la loi ne s’étend qu’à la classe de CE2. En d’autres termes, les enseignants sont libres d’évoquer ces sujets face à des enfants plus âgés. La protection des enfants devrait primer toute idéologie car à l’âge de six ans, ceux-ci, en pleine formation et découverte intellectuelle, n’ont certainement pas à subir de lavage de cerveau sur l’orientation sexuelle. Laissons les enfants grandir en paix !
Pour dénoncer les agissements de Ron De Santis et des Républicains, les médias relaient plusieurs témoignages d’enfants ou de jeunes ados dont Saffy, 12 ans, qui se définit comme « non-binaire » et qui regrette que ses plus jeunes frères et sœurs ne puissent plus évoquer son exemple en classe. Face à ce témoignage, une interrogation domine : comment une si jeune fille peut-elle déjà être « non-binaire » ? L’éducation parentale y est certainement pour beaucoup, mais il ne faut pas non plus négliger l’influence des lobbys LGBT dans les écoles. L’adolescence est une période complexe, faite de questionnements, le simple fait de n’avoir aucune assise genrée sur laquelle se reposer risque d’ajouter de la confusion à la confusion.
Le gouverneur de Floride a pris la décision courageuse de remettre de l’ordre dans les écoles primaires. Les enfants doivent être protégés de toutes les influences néfastes qui pourraient venir perturber leur développement cognitif et intellectuel. La Floride est précurseur sur ce sujet mais d’autres Etats devraient suivre alors que Joe Biden fait preuve d’une grande complaisance pour l’idéologie LGBT.
4 commentaires
Aprè savoir semé leur pagaille à travers l’UE entière il est temps de se réveiller et de donner un grand coup de Karcher dans cette grande mer de Trolles. Bien cela va arriver dans l’UE dans 20 ans il y a de l’espoir.
Selon les règles de l’Univers (et non pas celles de l’espèce humaine -et du mâle en particulier-) le garçon est celui qui a une quéquette, et la fille est celle qui a une zézette ! Et quand il font « coquillette », ils ont un bébé !!! Il en est ainsi chez les espèces animales, nos colocs de la planète !!! Mais voilà, il semblerait que dame Nature ait des ratées ! Celles-ci devraient-t-elles devenir la règle ? OUI si l’on accepte la dégénérescence de l’espèce. Alors NON.
Peuvent-elles être corrigées, réparées, accompagnées … SOIGNÉES, à coup d’ARN messager !!!… ? Hum/oup’s/ouilleyououille ! Pas franchement conforme à la doxa imposée ça dis donc ! La stérilité des faux débats des sociétés occidentales est à vomir !
ENFIN !
C’est normal que la momie Biden ne réagisse pas car cette nouvelle caste est son électorat à 99 %. Dommage qu’à droite, en France, il n’y ait pas le même courage que possède ce gouverneur de Floride !!!