L’invocation du réchauffement climatique devient un procédé d’intimidation morale qui prépare des reculs de la liberté (…) Mais le devoir de l’État est aussi de faire confiance aux individus et de les laisser prospérer, de ne pas sacrifier l’homme, ou sa liberté, au profit, hypothétique, de la planète. Lire l’article de Jean-Philippe Delsol dans Le Figaro (13/08).
Climat: l’argument rêvé pour les partisans de l’étatisme, qui retrouvent leur aplomb
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