L’IREF a reçu Pierre Danon, porte-parole de François Fillon. Durant une heure environ, il a abordé le programme économique et fiscal de F. Fillon et a répondu à plusieurs questions de la salle. L’IREF se réjouit de constater que plusieurs de ses propositions apparaissent dans son programme : un IS à 25 %, un pilier capitalisation dans le nouveau système de retraite, la concurrence dans la Santé, une forte autonomie des écoles et sa « libération » de l’emprise de la « caste pédagogique », le renforcement de l’apprentissage à partir de 14 ans comme en Suisse, etc… C’est un grand espoir pour tous ceux qui souhaitent que la France prenne le chemin de la liberté comme l’ont fait d’autres pays européens… Maintenant, il faut veiller à ce que toutes ces réformes soient appliquées (selon Pierre Danon, elles seront faites dans les 3 mois après les présidentielles) et aller encore plus loin sur la voie des libertés et du libre choix.
Rencontre avec Pierre Danon, porte-parole de François Fillon
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Plan d'economie
1-concernant les fonctionnaires: La baisse de 550000 fonctionnaires représente moins de 10% des éffectifs !!! La mondialisation a contraint les grands groupes industriels depuis 30ans a faire de la productivité et à améliorer leurs performances auprès de leurs clients et de leurs actionnaires avec des réductions d'éffectifs de 30 à 40%.Des investissements de productivité ont été réalisés et je ne comprends pas que ces méthodes de gestion ne soient pas appliquées dans le service public depuis longtemps pour ramener les éffectifs aux environs de 3.5 millions.
2- concernant les effectifs des "personnels politiques", je ne vois aucune proposition sur la baisse du nombre de Députés, Sénateurs, élus régionaux, départementaux etc.. Les comparaisons avec les autres pays comme les USA ou d'autres pays européens sont riches d'enseignement sur ce sujet.
D'une façon générale et par expérience, nous savons que trop d'effectifs et de hiérarchie, paralysent les prises de décision et la productivité. Qu'attendons nous pour agir ? Sinon je serai condamné à penser que l'éfficacité, la productivité, l'adaptation à l'évolution inéluctable du monde restent les moteurs du secteur privé et totalement inconnus du secteur public.