Le jeudi 5 décembre, la France sera une nouvelle fois bloquée à cause des grèves dans les transports publics. Une fois de plus, les syndicats des entreprises publiques vont prendre en otage tout un pays afin de défendre, selon eux, les « droits acquis » qui sont en réalité d’énormes privilèges payés par les contribuables. A quelques jours de la grève, voici, selon deux nouveaux documents (le récent rapport de la Cour des comptes et un site de la SNCF), d’autres informations sur la situation de cette entreprise et sur les avantages dont bénéficient les agents qui y travaillent.
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Parmi les maux qui rongent l’hôpital public, l’instauration des 35 heures de travail hebdomadaire figure en bonne place.
« Faire plus avec moins ne marche nulle part ». Cette affirmation catégorique est assénée dans une tribune du Monde par plus de 140 collaborateurs de Radio France. Ces derniers s’inquiètent légitimement des suppressions de postes prévues dans le service public audiovisuel. L’argument est toutefois étrange. Il consiste à nier l’existence de la notion même de productivité, un concept auquel les contribuables qui financent Radio France sont quotidiennement astreints dans leur vie professionnelle.
Alors qu’en France les militants d’extrême gauche manifestent violemment contre les libertés et affirment ouvertement leur haine du capitalisme, à Hong Kong, les habitants se mobilisent pour préserver les libertés et garder leur modèle de développement, une société libérale. Depuis cinq mois, les affrontements sont de plus en plus violents entre les manifestants et les forces de l’ordre dirigées par le pouvoir communiste chinois. Environ 1 000 personnes ont déjà été arrêtées, nombre d’entre elles battues et torturées. La plus grande vigilance s’impose à l’égard de cette dictature qui possède encore des camps de travail forcé et qui pratique l’épuration ethnique, notamment au Tibet, au Népal et dans la province de Xinjiang où, selon les rapports internationaux, la population est pratiquement réduite à l’esclavage.
Le 18 juin 2019, Facebook annonçait au monde sa volonté de travailler sur une devise numérique internationale : Libra. Si cette monnaie devait voir le jour, elle serait administrée par une association indépendante de la firme californienne, basée en Suisse. Depuis, cette annonce n’a cessé de faire grincer les dents de nombreuses personnes. Économistes keynésiens, ministres, banquiers centraux et politiciens se relaient pour conspuer l’ambition de Mark Zuckerberg qui, le23 octobre, a été interrogé à Washington par des membres du Congrès. Quels sont les arguments employés par les sceptiques et les opposants ?
Après les annonces électorales de grands projets, sont venues les désillusions. Depuis l’automne 2018, le gouvernement passe son temps à colmater les brèches qui s’ouvrent sur tous les fronts. Il s’y consacre d’autant plus que les groupes de pression ont tous compris que la revendication était un moyen efficace d’obtenir satisfaction.
M. Macron, pour sauver l’industrie française, baissez les charges, les taxes, les impôts et réformez l’Etat !
Le président de la République était en visite il y a quelques jours sur le site de l’ancienne usine Whirlpool à Amiens, là où, entre les deux tours de l’élection présidentielle de 2017, il s’était déplacé pour promettre aux 300 salariés qu’il allait sauver l’usine menacée par une délocalisation. Aujourd’hui, il ne reste que 44 employés sur le site qui va très probablement bientôt fermer. M. Macron a échoué, comme d’ailleurs beaucoup d’autres politiques qui ont fait ce genre de promesses avant lui.
Les récentes données du Census Bureau montrent qu’en 2018, plus de 30% des ménages américains gagnaient plus de 100 000 USD par an (c’est-à-dire la classe supérieure) ; moins de 30% des ménages gagnaient entre 50 000 et 100 000 dollars (c’est-à-dire la classe moyenne) et la part des ménages américains gagnant au moins 100 000 dollars a plus que triplé depuis 1967, alors que 9% seulement des ménages américains gagnaient autant à l’époque.
Margrethe Vestager, fossoyeur de la concurrence et de l’innovation en Europe
Qu’est-ce que la concurrence ? De l’incompréhension de cette notion découle une multitude de maux. Historiquement, la concurrence désigne l’état ou le processus qui résulte du droit de chacun d’entreprendre et de passer librement des contrats, sans souffrir de quelconques entraves réglementaires et fiscales.