Les syndicats français ont pour habitude de vivre de l’argent public de manière directe ou indirecte. Or voici que certains ont trouvé une planque dorée pour remplir leurs comptes personnels. Il s’agit du comité d’entreprise d’Air France qui capte pas moins de 3.1% de la masse salariale, c’est-à-dire environ 60 millions d’euros. Une somme assez coquette qui aurait été dilapidée à hauteur de 90% en salaires et frais généraux.
Syndicats
La France reste le dernier pays développé où les syndicats, pourtant vidés de leur base d’adhérents, font encore la pluie et le beau temps sur les politiques économiques et sociales.
La raison : des financements publics qui leurs assurent une capacité de nuisance sans aucune mesure avec leur représentativité.
Comme nous, demandez la fin des subventions publiques aux syndicats afin de libérer l’emploi et la croissance !
Nouvelle grève dans les ports français à la demande de la CGT. S’opposant au transfert de l’activité de manutention portuaire (grues et personnels) à des sociétés privées, le syndicat demande l’arrêt du travail. Ce qui va affaiblir encore plus les ports français déjà largement devancés par d’autres ports.
La chasse aux bonus des traders est ouverte. Mais pourquoi ne pas s’intéresser également aux bonus des syndicats et des leaders syndicaux eux-mêmes ? C’est ce que propose l’IREF, puisqu’un bonus est aujourd’hui défini comme une prime injustifiée, un gros lot qui ne doit rien aux vertus de ceux qui le touchent.
L’étude La flat tax : une solution pour la France est à l’origine la préface du livre La Flat Tax. La révolution fiscale de Robert E. Hall et Alvin Rabuschka que l’IREF publie en collaboration avec l’association Contribuable Associés et l’European Center of Austrian Economics.
Occupé à traquer les entreprises privées, l’Etat en oublie ses propres ouailles. A l’Education nationale, la médecine du travail n’existe même pas. Ce n’est pas étonnant : personne ne contrôle l’Etat. Enquête de Guillaume Blondin pour l’IREF.
Toujours prompts à mettre l’Europe entière à l’heure de la France, les médias ont salué l’accord passé entre Angela Merkel et les libéraux du FDP comme une convergence des politiques de relance. En dépit de quelques rares points communs il n’en est rien. Evidences rappelées par le Pr.Jacques Garello, administrateur de l’IREF, président de l’ALEPS
La nouvelle majorité d’Angela Merkel pourrait changer la face fiscale de l’Europe. En effet, dans sa dernière phase, le thème essentiel de la campagne de la CDU et du FDP a été la baisse des impôts et des dépenses publiques. Beaucoup de gouvernements européens s’engagent visiblement dans cette voie. A quand le tour de la France ? Commentaires de Jacques Garello, administrateur de l’IREF et de Jean Yves Naudet dans la Nouvelle Lettre (numéros 1009 et 1010).
Depuis trois ans, l’Etat a dépensé 3.5 Mds d’euros pour la branche fret de la SNCF. Avec quels résultats ? L’entreprise des chemins de fer prévoit, cette année encore, plus de 600 millions d’euros de pertes. Comme l’argent gaspillé ne suffisait pas, l’Etat vient de décider d’injecter 7 Mds d’euros supplémentaires pour les trains de marchandises.
Il n’aura pas fallu six mois pour que le corporatisme ait « la peau » du régime de micro entrepreneur. Pensez-donc, au scandale des bien pensants, depuis le 1er janvier de cette année n’importe qui pouvait se proclamer entrepreneur sans avoir à justifier de diplôme, sans payer d’impôts, charges ou droits préalables, sans cotiser à un quelconque « machin ». Et c’est là que le bât a blessé précisément.
Les syndicats sont les premiers à dénoncer le capitalisme « sauvage » et financier. Mais lorsqu’il s’agit de l’argent des contribuables, ils préfèrent remplir leurs poches et oublient la lutte des classes.