Effort, mérite, travail, responsabilité, subsidiarité, devoir, initiative, concurrence, autant de mots qui nous sont chers. Ce sont les leitmotivs des états généraux de la liberté organisés mardi 23 mai à l’initiative de Virginie Calmels, Aurélien Véron et Hervé Mariton.
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Lorsqu’un patient est très malade comme l’est la France aujourd’hui, on ne se demande pas s’il faut lui prescrire des pilules roses ou grises. On lui donne les pilules qui vont le guérir.
Finalement, ils seront 11 candidats aux présidentielles de 2017. Une particularité française : 10 d’entre eux présenteront des programmes économiques anti-libéraux, voire marxistes.
Pour 67 % des personnes interrogées, Macron est bien un leurre !
Selon les résultats d’un sondage réalisé par LCI lors d’une émission animée par Yves Calvi le 10 mars dernier, plus de 67 % des personnes interrogées considèrent qu’Emmanuel Macron est un leurre, 23 % qu’il est un précurseur politique et environ 10 % pense qu’il est un simple effet de mode.
Les nouvelles des deux côtés de l’Atlantique sont presque monopolisées par des rapports négatifs sur le président des États-Unis, Donald Trump, et sur ses activités. De plus, les politiciens et même les dirigeants nationaux se joignent à ce chœur de condamnations. Des manifestations publiques contre le président sont organisées et des remarques agressives sur lui sont faites. Elles dépassent les limites de l’objectivité et du bon goût. Certaines des choses que M. Trump a dites lui-même méritent des critiques sérieuses, mais le niveau de ses déclarations n’a pas été inférieur à celui de certains de ses adversaires. Rarement quelque chose de positif est rapporté ou reconnu dans son programme, ses actions et ses rendez-vous. Chaque nomination présidentielle est confrontée à des allégations d’agendas cachés et de conflits d’intérêts et M. Trump lui-même n’est pas épargné par de telles accusations.
Un million d’euros, presque ! Pénélope Fillon aurait reçu moins de 700 000€ nets de son mari, député. Les Français s’en scandalisent par média interposé quand bien même ces opérations étaient probablement légales sinon moralement souhaitables. En même temps, la Cour de comptes confirme ce qui a été anticipé dans la rocambolesque déroute de la taxe poids lourd : c’est bien 1 milliard d’euros dilapidé en pure perte. 1400 fois plus !
C’est une longue tradition à gauche que de savoir dans les grandes occasions – de préférence lors des élections présidentielles – sortir de derrière les fagots les propositions les plus folles pour aguicher l’électeur, en tablant notamment sur la piètre culture économique du Français, qu’entretient assidument une Éducation Nationale aussi réfractaire au marché qu’à l’entreprise. Et l’on s’aperçoit, hélas, que selon le vieux dicton: « plus c’est gros, mieux cela prend »!
Lors d’un meeting à Tourcoing, Jean-Luc Mélenchon a affirmé, poing levé, que le problème de la région « a un nom et une adresse: c’est Mulliez ». Cette menace digne de l’époque la plus noire des massacres perpétrés par les bolchéviques n’a soulevé aucune indignation dans les médias.
L’IREF passe au crible et note les propositions des socialistes. Quelle déception ! On est toujours en plein marxisme.
Comment se fait-il que le gaullisme est devenu aujourd’hui la référence suprême de toutes les personnalités politiques ? De Jean-Luc Mélenchon à Marine Le Pen, en passant par François Bayrou, tous, presque sans exception, se réclament du général. Dans un brillant essai, Eric Brunet explique les dangers de cette vénération injustifiée et ses dangers pour la France.