L’ancien président de la République a été condamné en appel à trois ans d’emprisonnement, dont un an ferme, pour corruption et trafic d’influence. Les deux coprévenus de l’ex-président, son avocat…
Nicolas Sarkozy
Une (autre) honte française : plusieurs anciens présidents de la République mis en examen et condamnés
La France est-elle devenue un pays du tiers-monde ? Certes, Nicolas Sarkozy reste présumé innocent tant que sa condamnation n’est pas définitive et le comportement de certains magistrats dans cette affaire ne paraît pas avoir été toujours exemplaire. Mais en l’état, la condamnation à trois ans de prison dont un ferme de l’ancien président de la République, Nicolas Sarkozy, se rajoute à la très longue liste de mises en cause par la justice de responsables politiques français. Tous n’étaient pas coupables mais très nombreux ont été condamnés. Abus de biens sociaux, détournements de fonds, enrichissements personnels, emplois fictifs, ou délits d’initiés sont les formes de corruption les plus répandues. Même si les élus bénéficient de relations, sont protégés par l’immunité parlementaire et peuvent se cacher derrière l’opacité des fonds publics, la liste des affaires est longue.
Dans son dernier ouvrage, Républicains, OSEZ !, publié chez Libréchange, Alain Mathieu se livre à un travail très documenté d’analyse des programmes des candidats à la primaire de la droite et du centre. Il le fait avec brio en délivrant en même temps, et sur chaque sujet de réforme, conseils et suggestions aux candidats dont la pusillanimité est dénoncée dans nombre de domaines.
Dans l’interview accordée aux Echos (4 février), Nicolas Sarkozy aurait révélé un « plan choc » (c’est le titre de l’article) comprenant notamment un « contre-choc fiscal » de 25 milliards par an.
Après une résolution de la Commission européenne en 2014, qui militait pour la distinction des moteurs de recherche des autres activités, (en particulier les revenus de publicité en ligne), et la campagne anti-Amazon en France, les entreprises du numérique, dont Google, Apple, Facebook ou encore Amazon, sont une fois de plus la cible des autorités européennes. Depuis le 1er janvier, l’Union européenne a modifié les règles de détermination du taux de TVA intra-communautaire, qui ne dépend plus désormais de la domiciliation fiscale de l’entreprise, mais de la localisation des clients. Par ailleurs, à la suite de la publication du rapport Collin-Colin en début 2013, ainsi que de la remise d’un autre rapport au début mars- sur la fiscalité numérique par France Stratégie, un organe de recherche lié au Premier ministre, l’idée d’une nouvelle taxe sur les géants du net a été relancée, qui datait de Nicolas Sarkozy ; en particulier sur les deux aspects déterminants que sont les revenus publicitaires et la collecte des données personnelles.
Cette Lettre proposée par Nicolas Lecaussin a été publiée (16/09) par Le Figaro sur son site. Lire la Lettre.
L’article de Nicolas Lecaussin consacré au « dialogue social » est largement cité par Ivan Rioufol dans son Bloc-Notes du Figaro (11 juillet). Lire. Documents joints
Notre ministre du travail, François Rebsamen, a voulu apporter sa contribution à la lutte contre le chômage. Au cours d’une récente conférence de presse, il a proposé de geler pendant trois ans les obligations qui s’imposent aux entreprises, qui passeraient de 9 à 10, et de 49 à 50 salariés. ?« Si cela créé de l’emploi, tant mieux, sinon, on remettra les seuils en vigueur et on n’entendra plus l’argument patronal » a-t-il commenté.
Nicolas Lecaussin, Directeur du développement de l’IREF, est cité dans le magazine Le Point (1er mai) à propos de son ouvrage intitulé « L’absolutisme efficace. Enquête sur la présidence de Nicolas…
Les gens du ministère ne comprennent pas ce que c’est qu’un bénévole
Madame Fillipetti, ministre de la Culture, s’est émue du sort des bénévoles, et en particulier de ces gens qui participent à des « théâtres vivants », comme le Fou du…