La Tribune de Jean-Philippe Delsol, Administrateur délégué de l’IREF, a été publiée par le magazine Valeurs Actuelles dans son numéro du 10 avril. Lire la tribune. Documents joints valeurs_actuellesjpd.pdf …
ministère de l’économie
Pour le Professeur Jean Philippe Feldman : « sûrement pas ! » Ce sont là des « mesures d’urgence », sans vision à long terme, et sans rupture avec les politiques, présentes et passées. Il n’y a aucune référence aux privatisations ou à la concurrence, mais le maintien des dépenses publiques à un niveau de 50 % du PIB. Le grand parti d’opposition doit réviser sa copie !
Une note d’optimisme avant le départ en vacances ? C’est le but de cet essai écrit à deux : d’un côté, l’économiste Olivier Pastré et, de l’autre, le journaliste (et économiste) Jean-Marc Sylvestre. Mais on restera sur sa faim…Nos auteurs commencent par un constat : la France va très mal. Mais ils demandent qu’on ne s’en émeuve pas trop : tous les atouts sont là pour s’en sortir. Des entrepreneurs pleins d’énergie, des ressources intellectuelles et des volontés de tous bords. En fait, le pays est bloqué par une bureaucratie très lourde et une réglementation décourageante. A cela s’ajoutent une fiscalité qui changent quotidiennement et l’ignorance économique de ceux qui nous gouvernent.
La France est championne du monde. De l’échec économique. Depuis plus de 40 ans, les décideurs politiques font l’inverse de ce qu’on devrait faire pour relancer l’économie.Il existe des maladies dont on ne guérit jamais. La politique de relance par la consommation en fait partie. La France souffre de cette maladie et il y a peu de chances qu’elle s’en débarrasse bientôt. Pourtant, en 1973, notre pays affichait une croissance insolente, à la chinoise : + 6.5 %. Le mot chômeur n’existait pas et même les Américains nous enviaient. Le Hudson Institute, un think tank conservateur américain, publiait des études qui vantaient les réussites économiques françaises. Aujourd’hui, ces études prennent la France comme « l’exemple à ne pas suivre »…
Cocorico de rigueur. Mais cela ne va pas changer la face du monde, ni celle de la crise : les maigres compétences de Madame Lagarde ne rendront pas au FMI un pouvoir qu’il n’a pas. Le professeur Jacques Garello, administrateur de l’IREF, explique son scepticisme. Non, ce n’est pas grave !
Optimisme sur les rentrées fiscales, suppression des niches fiscales « inutiles ». La Nouvelle Lettre (18 septembre) commente l’interview donnée par Christine Lagarde au Figaro (15 septembre)