Interview (10 mai) de Jean-Philippe Delsol sur le site Contrepoints à propos des libéraux français. Lire.
Libéralisme
L’article de Nicolas Lecaussin est publié (7 mai) sur le site du Figaro . Lire.
L’Institut Hayek de la ville de Iasi (Roumanie), en partenariat avec l’IREF et les éditions Libréchange, vient de publier, à l’occasion d’un colloque à l’université de Iasi auquel j’ai participé, la première traduction de plusieurs écrits de Turgot en langue roumaine. Une occasion excellente de rappeler aux intellectuels et à tous les politiques que la France a bien une tradition libérale et que c’est bien Turgot qui a influencé Adam Smith et les libéraux anglo-saxons.
Monsieur Bruno Le Maire, ce n’est pas le capitalisme qui doit changer, c’est votre politique !
Dans une interview accordée au journal Les Echos (3-4 mai), le ministre Bruno Le Maire affirme : « Au-delà des réponses politiques, une chose est sûre : le capitalisme doit changer. Sinon, les colères nous emporteront ». Le ministre se trompe et il prouve qu’il n’a rien compris. Si la France va mal, ce n’est pas parce que le capitalisme doit changer. C’est parce que les politiques économiques mises en place ne visent qu’à renforcer l’Etat au détriment de la liberté et de l’initiative individuelle. Qu’il s’agisse de François Hollande et de son gouvernement socialiste ou d’Emmanuel Macron et son gouvernement LREM qui est, en fait, une nouvelle forme d’étatisme, c’est bien le poids croissant de l’Etat qui attise les colères.
Le Brésil de Bolsonaro deviendrait-il libéral ?
Madame, Monsieur, chers amis libéraux,
Les Brésiliens ont récemment élu un nouveau président : Jair Bolsonaro. Ancien militaire et volontiers provocateur, il est classé par ses adversaires à l’extrême-droite de l’échiquier politique brésilien.
Aux éditions Calmann Levy, mars 2019
MM. Fouquet et Noé unissent leurs plumes pour démontrer les vertus d’une fiscalité libérale. Ils font d’abord œuvre d’historiens des révoltes fiscales dont tous les temps furent jalonnés. Déjà, « La naissance d’Athènes, disent-ils, est le fruit d’une révolte fiscale » contre les Crétois. Mais la Cité de l’Attique n’en a pas retenu les leçons puisqu’elle-même a trahi la ligue de Délos, bâtie pour défendre la Grèce contre la Perse, en utilisant son argent pour sa propre grandeur.
Quelle heureuse coïncidence ! A l’occasion du 60e anniversaire du ministère de la Culture, les Editions Robert Laffont publient, dans leur prestigieuse collection Bouquins, des dizaines de textes (articles, essais, chroniques, interviews) de Marc Fumaroli parmi lesquels les plus engagés sont regroupés sous le titre Polémiques. Fumaroli a été l’un des plus acerbes et des plus lucides critiques de ce ministère créé en 1959 par de Gaulle, à la tête duquel sera nommé André Malraux.
La Chine étend son empire hors les murs. Ça n’est guère conforme à son histoire. Au début du XVème siècle, l’empereur chinois Yongle chercha à élargir ses territoires. Il nomma l’un de ses féaux, Zheng He, amiral d’une flotte énorme qu’il fit construire pour parcourir le monde. Avec d’immenses bateaux il explora les côtes africaines et peut-être bien au-delà. Mais la Chine n’en profita pas pour établir des comptoirs de commerce ou conquérir de nouvelles possessions. Après trente années d’explorations, les routes ouvertes vers l’Occident furent abandonnées, inutiles et coûteuses pour un nouvel empereur, et la flotte fut brûlée ou remisée. Qu’en sera-t-il de la nouvelle route de la soie que l’actuel empereur Xi construit à coup de milliards offerts pour édifier de grands projets d’Asie jusqu’en Europe en passant par l’Afrique ?
Chers Lecteurs, Chers Amis de l’IREF,
Voici quelques jours que le numéro 4 (printemps 2019) de notre Journal des Libertés est en ligne. Comme vous le voyez sur le sommaire, de nombreuses contributions portent sur les questions européennes : répartition des pouvoirs, subsidiarité, immigration, démocratie directe, valeurs de l’Europe, Europe des nations, etc. Nous sommes en cela fidèles à notre engagement de développer et porter les réponses libérales aux enjeux contemporains.
«Macron réussit à discréditer le libéralisme sans le pratiquer!»
La faillite de l’étatisme à la française est l’une des causes principales de nos maux économiques et sociaux, plaide Nicolas Lecaussin, le directeur de l’IREF dans son nouvel essai : Les donneurs de leçons : Pourquoi la France est en vrac !