Le président Biden et les Démocrates veulent absolument faire passer un (nouveau) plan de relance de 1900 milliards de dollars. Cela même si les Républicains s’y opposent. Et même si…
Joe Biden
La République islamique d’Iran a annoncé refuser de participer à des négociations directes avec les États-Unis à propos de la question nucléaire. Depuis la sortie des États-Unis de l’accord sur…
Après l’« obscurantisme » de la présidence Trump, voici le « progressisme » de Biden. Lors de la conférence de presse (24/02) à la Maison Blanche, c’est une femme voilée,…
Joe Biden: après le « réalisme socialiste », voici le « réalisme progressiste »
Qui sera le prochain Andreï Jdanov?
À partir des années 1930, sous l’impulsion d’Andreï Jdanov, secrétaire général dans les rangs des bolcheviks, compagnon de route et très proche collaborateur de Staline, l’art et la culture doivent jouer un rôle essentiel dans l’éducation idéologique des masses. Les intellectuels, les artistes, les journalistes ne doivent nullement s’éloigner de leur fonction d’« ingénieurs des âmes », tout écart étant puni comme il se doit : la censure de l’auteur, l’interdiction d’écrire et de créer, le bannissement, l’arrestation, le goulag ou même la condamnation à mort. Il n’y qu’une Vérité – socialiste – et qu’une culture, la culture officielle dictée par le Parti et qui exprime le « réalisme socialiste », sous le contrôle des censeurs, des apparatchiks propagandistes et autres sbires à la solde de Jdanov. À la fin de la guerre, le jdanovisme a profondément imprégné la campagne anti-occidentale que l’URSS et les autres pays communistes ont menée pendant toute la période de la guerre froide, bien après la mort de Jdanov en 1948.
Dans les médias, la nouvelle administration américaine est présentée comme un retour à la normale et une réouverture des Etats-Unis au reste du monde. Joe Biden est également décrit comme un président modéré, un vrai remède au mandat de Donald Trump. Cependant, plusieurs faits contredisent cet optimisme dans le domaine économique. La politique du président Biden laisse une place plus importante qu’on ne le pense aux idées interventionnistes et protectionnistes.
Avec 4 % de croissance, l’économie américaine n’a pas besoin des 1900 milliards de dollars de Joe Biden
Les derniers chiffres de la croissance américaine sont extrêmement positifs. Après une hausse du PIB de 33,4 % au troisième trimestre (après la récession du printemps), c’est une croissance à…
Avec Biden, c’est (déjà) plus de protectionnisme et plus de bureaucratie
« Buy American » était l’une des devises de l’ancien président Trump. Le nouveau président, Joe Biden, se l’est déjà appropriée. Un nouveau décret qu’il vient de promulguer complète les…
A peine président, Biden le « progressiste » gomme les différences entre les sexes
Il avait fait comprendre que son but serait la « réconciliation nationale ». Mais, dans son discours d’investiture, Biden soutient que les Américains devraient être unis autour de l’idée «…
La victoire de Joe Biden à l’élection présidentielle américaine pourrait ne pas apporter autant de changements que ne l’espèrent ses partisans, surtout en ce qui concerne les relations des États-Unis avec les autres pays. En outre, le président Trump a remporté des succès importants que le président élu devrait renforcer au lieu de les saper.
Les élections de 2020 aux États-Unis nous ont laissé une situation intéressante. Une nouvelle présidence est sur le point de commencer, et les attentes à son égard dépendent du point de vue de chacun : certains sont enthousiastes, d’autres inquiets, d’autres encore pleins de ressentiment.
Les grands perdants des élections américaines : la crédibilité et l’impartialité des médias
Peu après que le candidat démocrate Joe Biden eut déclaré sa victoire, les États européens
ont commencé à exprimer leur espoir d’une nouvelle ère dans les relations transatlantiques.
Toutefois, la nature des liens entre les États-Unis et l’Union européenne ne devrait pas connaître de changement significatif. La présidence Biden aura aussi ses inconvénients. Le style du président Trump l’a peut-être rendu impopulaire auprès des dirigeants européens, mais ses méthodes ont parfois donné de bons résultats.