Et peut-être même un quatrième tiers d’électoralisme, pour capter la sympathie des électeurs verts ! En fait, le pouvoir n’a que mépris pour les usagers, pour les contribuables et pour les citoyens.
Environnement
La culture du seul maïs transgénique (MON810, produit par la société Monsanto) autorisé par l’Union européenne vient d’être interdite en France. C’est la troisième fois depuis 2008 que ce maïs…
L’article de Nicolas Lecaussin, Directeur du développement de l’IREF, a été publiée par le site du Figaro le mardi 18 mars. Lire l’article.
A l’exemple de leur opposition sur le gaz de schiste, les socialistes ne veulent même pas de recherche scientifique. Début février, un groupe de sénateurs a déposé une proposition de…
Les écologistes devraient être les premiers défenseurs du gaz de schiste. Grâce à l’exploitation du gaz de schiste, les émissions de CO2 ont baissé davantage aux Etats-Unis qu’en Europe :…
Quelle est la principale menace pour les Américains dans le futur ? Le terrorisme ? Le réchauffement climatique ? Non, c’est l’Etat obèse. Selon un sondage Gallup réalisé fin décembre 2013, 72 % des Américains craignent trop d’interventionnisme étatique dans les années à venir. Il faut dire qu’avec l’administration Obama, ils ont compris qu’il ne fallait rien attendre de l’Etat…. Bien au contraire !
C’est probablement la conclusion à laquelle sont arrivés les 50 scientifiques, journalistes et simples touristes, partis observer la couche de glace en Antarctique sur le navire expéditionnaire MV Akademik Chokalskiy.…
En 2011, les Etats-Unis étaient encore un pays importateur de matières pétrochimiques. A partir de 2018, le pays sera un grand exportateur de matières pétrochimiques avec au moins 30 Mds de dollars d’excédents. Tout cela grâce à l’exploitation du pétrole et du gaz de schiste. C’est ce que la Grande-Bretagne a compris également, car elle vient d’annoncer un partenariat avec Total.
Rentabilité, efficacité et pragmatisme sont des adjectifs que l’administration française a depuis longtemps rayés de son vocabulaire. La volonté de réduire les gaz à effet de serre est louable, sauf lorsqu’elle se bute aux réalités économiques, qui sont souvent à contre-courant des objectifs abracadabrantesques de nos gouvernements en matière d’environnement. Ce n’est pas en subventionnant des filières non rentables, en incitant à manger local et/ou biologique et en triant ses déchets que l’on sauvera la planète.
Par exemple, les subventions dans les secteurs éolien et solaire sont des aberrations permettant à de nombreuses entreprises non pas de prospérer mais de survivre. De ce point de vue, notre politique énergétique n’a aujourd’hui aucun sens, et, une fois n’est pas coutume, c’est l’Allemagne qui nous en apporte la preuve. Il nous faut maintenant arrêter de céder aux lobbys et réfléchir à des solutions de long terme et financièrement viables pour faire face aux différents défis environnementaux et énergétiques.
14 000 ! C’est le nombre d’éoliennes qui seraient à l’abandon aux États-Unis, notamment en Californie et à Hawaï.