Le retard européen en matière d’industrie numérique face aux Etats-Unis et à la Chine, a beaucoup été médiatisé mais ce n’est pas le seul domaine concerné. Dans les prochains jours, trois missions spatiales vont atterrir sur la planète Mars : la Chine, les Etats-Unis et les Emirats Arabes Unis ont envoyé des sondes et des robots afin d’en explorer les ressources. On notera l’absence de l’Europe, dépassée par les autres puissances mondiales. Désormais, il est temps que le vieux continent mette sur pied des initiatives. Sans cela, il passera à côté des secteurs économiques d’avenir.
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Lors de son audition à l’Assemblée nationale mercredi 10 février, Bruno le Maire s’est réjoui de la bonne santé de l’économie française, qui tourne aujourd’hui à 96 % de son…
Les restaurateurs veulent travailler, l’État veut materner
Au prix de mesures sanitaires drastiques, certains restaurants ont ouvert leurs portes le 1er février, malgré l’interdiction de l’État. Un État qui a envoyé ses forces de l’ordre pour faire…
Google, Apple, Amazon, Facebook, Uber, Airbnb : de nombreuses entreprises ont fondamentalement changé nos vies ces dernières années, et ils en sont les champions. Bien que leurs modèles économiques diffèrent, aucun ne vient d’Europe. Si l’on excepte les serial entrepreneurs de Rocket Internet à Berlin, SAP est la seule grande entreprise du numérique en Allemagne.
L’UE a-t-elle un rôle à jouer pour changer cela? La réponse est oui. Cependant, cela ne se fera pas à coups de nouvelles subvention ou de régulation pointilleuse, mais par l’ouverture des marchés.
Dans un article publié le 15 avril dernier dans le Wall Street Journal, le célèbre éditorialiste Daniel Henninger, inquiet par les conséquences économiques dramatiques du confinement, propose, ni plus ni moins, que les pouvoirs publics soient confinés et que les individus comme les entreprises se prennent en main pour redresser la barre.
L’article 3 du projet de loi de finances pour 2020 prévoit que « Les dirigeants des entreprises dont le siège est situé en France et qui y réalisent un chiffre d’affaires annuel supérieur à un milliard d’euros sont considérés comme exerçant en France leur activité professionnelle à titre principal … » Le chiffre d’affaires consolidé serait pris en compte et les dirigeants concernés s’entendraient « du président du conseil d’administration, du directeur général, des directeurs généraux délégués, du président du conseil de surveillance, du président et des membres du directoire, des gérants et des autres dirigeants ayant des fonctions analogues ».
Dans une Etude récente, l’IREF avait montré qu’un taux d’IS à 25 % stimulerait l’activité et redonnerait confiance aux entreprises. Le CPO (Conseil des prélèvements obligatoires) arrive aux mêmes conclusions.
0 entrepreneurs sur 50 personnalités préférées des Français
Comme tous les ans, le Journal du Dimanche publie le baromètre des 50 personnalités préférées des Français. Une fois de plus, aucun entrepreneur ne figure dans cette liste. A croire…
Karine Charbonnier , Albin Michel, 2016
On devrait instituer une sorte de Légion d’honneur pour les patrons. Diriger une entreprise dans la France d’aujourd’hui relève de l’exploit et ceux qui le font mériteraient d’être récompensés. Entre la fiscalité et les réglementations, les syndicats et les politiques, les salariés malhonnêtes et les clients de mauvaise foi, le chef d’entreprise essaie de s’en sortir. Certains ont la patience de le faire, d’autres choisissent l’exil et les délocalisations, surtout maintenant à l’époque de la mondialisation.
77 % des riches proviennent des classes moyennes ou pauvres
Une nouvelle enquête sur les riches a été réalisée aux Etats-Unis par le groupe U.S. Trust auprès de 700 individus avec au minimum 3 millions de dollars d’actifs. Les résultats…