Nos politiques, de gauche et de droite, se targuent de la vitalité des créations d’entreprises en France. Pourtant, les chiffres et les comparaisons internationales montrent que notre pays est parmi…
entrepreneur, entrepreunariat
Les Etats américains sont de véritables laboratoires de démocratie. Une comparaison entre plusieurs Etats situés à proximité des Grands Lacs (Illinois, Michigan, Wisconsin, Indiana et Ohio) montre de grandes différences…
Dans les pays communistes, l’Etat et le parti veillaient à ce que le peuple, en particulier les masses ouvrières, reçoive le message obligé de la “culture”. Notre ministre de la…
C’était l’expression de ” justice sociale ” qui revenait le plus souvent dans la bouche des commentateurs sur les plateaux télé le dimanche soir, après le résultat du deuxième tour…
Depuis plusieurs années, il y a une nouvelle vague d’émigration qui n’obéit pas au simple exil fiscal. Ce sont des jeunes, diplômés et dynamiques, qui quittent la France. C’est ce que soulignent deux rapports récents, confirmant les travaux de l’IREF bien connus grâce à l’ouvrage de Jean Philippe Delsol : « Pourquoi je vais quitter la France ».
Début 2013, l’IREF avait attiré l’attention sur l’augmentation du nombre d’exilés fiscaux, en estimant qu’ils étaient 3 fois plus nombreux qu’en 2012. Il avait aussi insisté sur le fait qu’il s’agissait là d’une nouvelle génération d’exilés, dans la mesure où les contribuables qui partent maintenant sont – des actifs plus jeunes et moins fortunés. Dotés d’une moyenne d’âge de 54 ans, ce sont de nombreux chefs d’entreprises qui fuient l’instabilité fiscale française en montrant leur préférence pour un environnement économique plus stable ailleurs. L’ouvrage de Jean Philippe Delsol, administrateur de l’IREF « Pourquoi je vais quitter la France » (éd. Tatamis) a présenté une synthèse saisissante des divers aspects de ce fléau.
La rémunération moyenne mensuelle des chefs d’entreprise français est de 4 000 euros
4.000 €. C’est la rémunération moyenne mensuelle des chefs d’entreprise français A l’approche des élections, le gouvernement veut faire plaisir à son aile (très) à gauche. Il remet sur le…
Produire et exporter le « made in France » : programme très populaire, mais qui ne peut se réaliser que si les entreprises veulent rester ou s’installer en France. Or, elles fuient l’enfer fiscal et réglementaire. A l’étranger les impôts sur les sociétés sont beaucoup moins élevés qu’en France et le cadre juridique est stable et attractif.
La France voudrait à la fois fermer ses frontières aux produits étrangers et exporter plus. Elle aimerait que ses multinationales se développent à l’étranger, mais qu’elles payent toutes leurs impôts en France. Et constatant que les grandes entreprises font surtout leurs profits au-delà de nos frontières, la France les accuse d’optimisation fiscale confinant à la fraude. Plutôt que de s’interroger sur les déficiences structurelles de l’économie française qui ploie sous le poids de l’Etat, celui-ci pointe du doigt les grandes entreprises étrangères pour en faire de faciles boucs émissaires.
La France, pays de moins en moins attractif pour les entreprises étrangères ? Ce n’est pas étonnant. Dans le Rapport (2013-2014) du Forum Economique Mondial sur la Compétitivité Mondiale, la…
Passer de la flat tax à l’impôt progressif ferait baisser les rentrées fiscales
Cela fait une quinzaine d’années que la Roumanie a adopté la flat tax, un impôt à taux unique à 16 %, pour les personnes comme pour les entreprises. Mais des…
La réussite américaine « durable », c’est la victoire de l’initiative sur l’assistanat, de l’entreprise sur l’administration, de la société civile sur l’Etat. Le poids de l’économie américaine est impressionnant (un quart du produit mondial) alors qu’on a annoncé périodiquement son déclin. Aux Etats-Unis, les entreprises nouvellement créées génèrent tous les ans plus d’un cinquième du PIB marchand. En 2010, tous les nouveaux emplois ont été créés par des entreprises de moins de cinq ans d’âge.