Les attaques contre les riches continuent alors que c’est bien l’Etat qui se goinfre sur le dos des contribuables. Dans un livre qui vient de paraître, les sociologues-idéologues Michel et Monique Pinçon-Charlot s’en prennent à ceux qu’ils considèrent comme des “délinquants”. Non, les “riches” ne sont pas des délinquants, ce sont surtout des entrepreneurs qui créent des emplois.
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Les documents budgétaires en discussion au Parlement sont trompeurs. En France, les gouvernants savent jouer sur les chiffres et les changer d’un document sur l’autre. Ils font croire que les recettes s’amélioreront : première tromperie. Et que les dépenses diminueront : deuxième tromperie. On se dirige plutôt vers une dette à 95 % du PIB et un déficit à 82,2 milliards d’euros.
Aux Etats Unis, l’administration fédérale doit se plier à la volonté de la majorité parlementaire dans le domaine des finances publiques. Le « blocage » des dépenses est-il de nature à compromettre la reprise de l’économie américaine ?
La chancelière Merkel se fait réélire triomphalement après s’être débarrassée de l’Etat. En France, on continue à invoquer l’Etat pour redresser l’économie du pays. C’est ce qui ressort du « plan pour le développement de 34 industries d’avenir » présenté par le ministre Arnaud Montebourg et aussi des 45 propositions pour une économie positive proposées par Jacques Attali.
Plus un système scolaire est libre, meilleurs sont ses résultats. C’est la conclusion de l’Etude que vient de réaliser l’IREF à partir des classements PISA et Eurydice.
– Sur les 5 systèmes éducatifs européens se classant dans l’élite de Pisa, 100% sont des systèmes éducatifs orientés vers la liberté éducative.
– Sur les 20 systèmes éducatifs européens se situant au-dessus et dans la moyenne de l’OCDE (groupe 1 et 2), 60% des systèmes éducatifs sont orientés vers la liberté éducative, soit 12 systèmes éducatifs.
– Sur les 19 systèmes éducatifs orientés vers la liberté éducative, 63% se situent au-dessus et dans la moyenne de l’OCDE, soit 12 systèmes éducatifs et 37% se situent au-dessous de la moyenne de l’OCDE, soit 7 systèmes éducatifs.
L’embellie économique inespérée ne doit pas faire oublier la très mauvaise santé de notre économie. Il ne faut pas oublier qu’il n’y aura pas de reprise “durable” sans faire des réformes économiques indispensables, en commençant par la libération fiscale et réglementaire des entreprises.
Fausses analyses, fausses promesses, fausses nouvelles, fausses mesures : nos gouvernants ont fui la réalité et la vérité et essayent de donner le change en occupant les médias. Mais ont-ils encore quelque crédibilité en matière d’économie et de fiscalité ?
Nos gouvernants se croient tout permis. Ils utilisent leur pouvoir législatif précaire pour nier les lois de la nature comme les lois de l’économie. La nature ?
La loi de la République a été utilisée pour asséner qu’il n’y avait plus ni homme ni femme, ni père ni mère. L’économie ? Un projet de loi de M. Hamon voudrait faire croire qu’il n’y a plus ni actionnaire ni salarié : application à l’entreprise du concept de « genre ».
Une note d’optimisme avant le départ en vacances ? C’est le but de cet essai écrit à deux : d’un côté, l’économiste Olivier Pastré et, de l’autre, le journaliste (et économiste) Jean-Marc Sylvestre. Mais on restera sur sa faim…Nos auteurs commencent par un constat : la France va très mal. Mais ils demandent qu’on ne s’en émeuve pas trop : tous les atouts sont là pour s’en sortir. Des entrepreneurs pleins d’énergie, des ressources intellectuelles et des volontés de tous bords. En fait, le pays est bloqué par une bureaucratie très lourde et une réglementation décourageante. A cela s’ajoutent une fiscalité qui changent quotidiennement et l’ignorance économique de ceux qui nous gouvernent.
On a beau avoir un gouvernement qui s’occupe de tout, notre PIB par habitant ne fait plus d’envieux ailleurs en Europe. Il ne dépasse plus que de 10 % la…
Les Editions du Muscadier présentent en un seul et même ouvrage les arguments pour ou contre la mondialisation. Quel est le résultat ? On peut voir d’un côté la faible argumentation et les mensonges des altermondialistes et, de l’autre, l’analyse de Lucas Léger, chercheur à l’IREF, qui rappelle que la mondialisation a enrichi tous les pays, créé des emplois, et que sans libre échange on n’aurait jamais connu ni la Renaissance ni la Révolution Industrielle ni la fin du Tiers Monde.