On peut craindre le pire avec cette Convention citoyenne pour le climat que vient de mettre en place le gouvernement (nouvelle manifestation de cette maladie bien française qui consiste à créer un organisme public pour chaque problème afin… d’en repousser la résolution, bien entendu). Cent cinquante citoyens tirés au sort (sic !) vont faire des propositions « permettant de réduire de 40 % les émissions de gaz à effet de serre à l’horizon 2030.
Écologie
Dans cet ouvrage, Fabien Bouglé ne se contente pas de déplorer les atteintes des éoliennes à nos paysages et au charme de nos campagnes, il ne remet pas non plus…
Dans un petit livre alerte qui mêle une petite histoire plaisante à une analyse rigoureuse, Drieu Godefridi s’inquiète à juste titre de la pensée écologique qui paraît prête, plus ou moins ouvertement, à exiger l’abolition de la démocratie et de la liberté, « pour le climat ». Il dénonce cet amalgame des écologistes qui présentent la lutte contre l’inégalité « comme un passage obligé vers la réconciliation de l’Homme avec la Terre ».
Dans une « Opinion » du 11 septembre publiée dans L’Express, Laurent Alexandre dénonce, à juste titre, « L’hystérisation amazonienne de Macron ». Le président prépare déjà sa réélection en menant une très agressive campagne « écologique ».
De l’âge de pierre au capitalisme, une histoire de problèmes écologiques
En 1972 paraît l’ouvrage Stone Age Economics de l’anthropologue Marshall Sahlins. Il sort en France en 1976 sous le titre Âge de pierre, âge d’abondance. L’auteur a pour objectif de déconstruire ce qu’il considère comme des idées reçues sur les inconvénients des sociétés primitives et les avantages de la civilisation industrielle. Il jette un pavé dans la mare et démontre que les chasseurs-cueilleurs avaient une vie pleine d’abondance et moins pénible que les peuples sédentarisés.
Ce livre n’est pas tout à fait récent puisqu’il a été publié en 2015. Mais il est d’une actualité totale après que la presse de l’été s’est faite l’écho de nouveaux constats alarmants concernant les ressources d’eau dont la planète devrait manquer prochainement. La Banque mondiale a sonné l’alarme dans un rapport du 20 août dernier. Un quart de la population mondiale, vivant dans 17 pays, se trouverait en situation de pénurie hydrique grave, proche du « jour zéro » et vingt-sept autres États, dont la Belgique et l’Espagne, présenteraient une « pénurie hydrique élevée », estime l’institut World Resources –WRI- dont le président Andrew Steer, s’inquiète des conséquences qui « prennent la forme d’insécurité alimentaire, de conflit, de migration, et d’instabilité financière ».
Éolien en mer : des subventions publiques supérieures à 4 Mds d’euros pour une électricité trois fois plus chère
Le site Actu-Environnement nous donne des détails sur les tarifs d’achat des futurs parcs éoliens français en mer validés par la Commission européenne : entre 131 et 155 euros par mégawattheure (MWh).
Indignation générale, protestations et cris d’alarme ! La forêt amazonienne, le « poumon de la planète » est en train de brûler ! En voyant toutes ces images terribles, il y a de quoi s’inquiéter et s’empresser d’agir. Sauf que, derrière la réalité des incendies, se cachent les objectifs idéologiques. D’abord, la volonté de créer la panique et l’indignation mondiale. Comment expliquer sinon la publication de dizaines de photos qui n’ont rien à voir avec les incendies en Amazonie ? Même le président Macron a tweeté une photo faite par un photographe qui est mort en…2003.
Quand l’économiste de gauche Daniel Cohen défend la pauvreté au nom de l’écologie
L’irruption de l’idéologie écologiste redéfinit les clivages et les préoccupations des figures intellectuelles des factions politiques de gauche et de droite. Côté gauche, on regretterait presque le remplacement du discours marxiste par le discours écologiste tant ce dernier atteint les sommets du cynisme. La proposition de Jean-Marc Jancovici de cesser de soigner les personnes âgées au nom du culte de Gaïa n’est que la partie émergée de l’iceberg.
Inspirée des travaux de l’économiste Arthur Cécile Pigou, la fiscalité du carbone a l’ambition de contraindre les entreprises et les ménages à internaliser le coût social de leurs activités productives émettrices de CO2 afin de les limiter. Problème : comment déterminer le niveau optimal de fiscalité ?