Malgré le ralentissement économique (relatif) à 2 %, le marché de l’emploi américain affiche toujours une excellente santé. L’économie a créé 131 000 nouveaux emplois nets en octobre, ce qui a dépassé les attentes et c’est d’autant plus notable que quelque 42 000 emplois ont été perdus à cause de la récente grève chez General Motors. A cela, il faut rajouter 95 000 emplois en août et en septembre (révisions à la hausse), ce qui représente en moyenne 176 000 emplois au cours des trois derniers mois. C’est plus que les 167 000 emplois mensuels pour l’ensemble de l’année 2019 : non seulement la création d’emplois ne ralentit pas, mais elle s’améliore.
aides et subventions publiques
Le « bio » a conquis l’assiette de nombreux Français et témoigne de préoccupations alimentaires légitimes de la population. Dans ce nouveau rapport, l’IREF analyse les prétendues vertus de cette consommation et montre, littérature scientifique à l’appui, que l’agriculture dite « biologique » ne tient pas ses promesses. L’IREF propose d’abandonner l’interventionnisme massif et coûteux de l’État en faveur de cette pratique pour permettre le libre choix alimentaire des consommateurs.
L’Allemagne a toujours affirmé vouloir réduire au plus vite les émissions de CO2 grâce aux énergies renouvelables. Elle a donc pratiqué une politique de subventions et d’investissement massifs. Entre 2013…
Congé paternité : le coût d’un tel scénario serait d’1,2 milliard d’euros
L’IGAS, c’est l’Inspection Générale des Affaires Sociales, un corps de contrôle interministériel qui assure cinq types de missions, si l’on en croit le site internet du Ministère des solidarités et de la santé :
– inspection/contrôle des services ou organismes publics, ou privés bénéficiant de concours d’un organisme public, ou financés par des cotisations obligatoires ;
– évaluation des politiques publiques, permettant notamment d’éclairer le gouvernement sur l’existant et de suggérer des évolutions souhaitables,
– contrôle des organismes faisant appel à la générosité publique (OFAG),
– conseil, appui et administration provisoire ;
– audit interne au sein des ministères sociaux et des structures rattachées, afin d’évaluer l’efficacité des dispositifs de maîtrise des risques de ces organismes.
On s’émeut beaucoup de la pauvreté en France qui concernerait 8,8M de personnes et aurait augmenté de 820 000 personnes sur la période 2006/2016. Mais c’est le socialisme qui est la cause de cette pauvreté et de son augmentation. Aux États-Unis, la pauvreté est restée stable sur la même période, voire s’est réduite.
Lutte contre la pauvreté : et si la redistribution n’était pas la solution ?
Si tous les gouvernements proclament naturellement leur attachement à la lutte contre la pauvreté, peu comprennent visiblement ses ressorts. En témoigne la persistance de l’idée que ce problème ne pourrait être traité qu’à travers le prisme exclusif de la redistribution. Les social-démocraties occidentales souffrent à cet égard d’un authentique paradoxe. Ces dernières sont conscientes de la nécessité de s’appuyer sur une économie de marché productive sans laquelle leurs ambitions redistributives sont irréalisables. Mais il est précisément illogique d’imputer le recul de la pauvreté avant tout à la redistribution si la création de richesses lui précède.
Emmanuel Macron présentera le 13 septembre prochain son Plan pauvreté pour la France où, selon les données officielles (ministère de la Santé), 8,9 millions de personnes vivaient en 2015 sous le seuil de pauvreté, soit 14,2% de la population. En France dont les dépenses sociales dépassent celles des autres pays, 4,15 millions de personnes étaient allocataires de minima sociaux fin 2016 (RSA, AAH, minimum vieillesse, ASS, etc.). 20% des allocataires du RSA le sont depuis 10 ans et 49% depuis au moins 4 ans. De nombreuses études ont déjà montré que l’assistanat rend les gens dépendant des allocations. Dans ces conditions, un nouveau Plan pauvreté sans une véritable réforme ne changera strictement rien. Il faudrait tout revoir et l’IREF a plusieurs propositions :
Pourquoi vos lunettes vont vous coûter plus cher ?
L’article de Jean-Philippe Delsol est publié par le quotidien l’Opinion dans son édition du 28 août.
C’est ce que préconise la réforme des aides sociales aux Etats-Unis que vient de présenter la Chambre des représentants. Environ 40 millions d’américains bénéficient du programme « Supplemental Nutrition Assistance Program » qui comprend surtout la distribution des Food Stamps (Tickets alimentaires) pour un coût de 70 Mds de dollars/an.
La Commission européenne propose un budget en baisse de 5 % pour la Politique agricole commune (PAC) de ces prochaines années. Les corporations (syndicats et interprofessions) et les décideurs politiques se sont empressés de crier au scandale. Pourtant, la libération des agriculteurs du joug administratif serait bien plus adaptée pour répondre au drame agricole français. La réduction des subventions pourrait alors atteindre 100 %.