Nous nous sommes procuré la brochure de campagne de Valérie Pécresse, nous l’avons feuilletée avec une certaine perplexité. D’une part, la candidate aux régionales vante son action durant la crise…
aides et subventions publiques
Le Sénat tente de responsabiliser les parents d’élèves absentéistes
Lors de l’examen de la loi sur le respect des principes de la République, le Sénat a adopté un amendement “permettant, en dernier recours, la suspension du versement des allocations…
La crise sanitaire a durement frappé Air France et l’État a choisi de l’aider au moyen d’un prêt de trois milliards d’euros, remboursable sur quatre ans. Las, il se trouve…
Baissons les aides aux entreprises…et leurs impôts
Le cumul des aides aux entreprises, hors soutien exceptionnel pendant l’épidémie de Covid, atteignait 140 milliards en 2018. Plutôt que de taxer les entreprises d’une part, et de redistribuer de…
M. Le Maire, « sauver » des entreprises déjà condamnées c’est gaspiller l’argent public !
Dans une interview accordée au Journal du Dimanche, le ministre Bruno Le Maire vante les mesures prises depuis un an et souhaite que le plan de relance prenne encore plus…
Le cinéma, instrument de soft power important, est largement subventionné par l’Etat. Ces subventions vont pour une bonne part aux films à succès, et surtout à gros budget : nouveau gâchis d’argent public.
La dernière cérémonie des Césars montre le déclin du cinéma français. Malheureusement, il ne date pas d’hier. L’argent public gangrène le cinéma depuis des années, tout comme il gangrène d’autres secteurs. Chaque année, le cinéma français reçoit 500 millions d’euros de subventions, qu’il s’agisse d’aides directes ou d’incitations fiscales. Un chiffre déjà impressionnant, auquel s’ajoutent l’apport des chaînes de télévision et le régime d’assurance chômage des intermittents du spectacle.
La loi contre le séparatisme est contradictoire
Jean-Philippe Delsol est l’invité de David Pujadas sur LCI (24 mars) pour débattre du financement public de la mosquée de Strasbourg, du séparatisme, de l’assimilation à la France et de…
L’UNEF : il faut lui supprimer les subventions et lui faire respecter la loi
Une note, demandée par l’Élysée sur l’état de l’Union nationale des étudiants de France (UNEF), syndicat étudiant de gauche, décrit un mouvement en perte de vitesse depuis une dizaine d’années…
Énergies renouvelables au Texas : les subventions contre la raison
La catastrophe électrique de février dernier au Texas ne fait pas entendre raison aux écologistes. Ces derniers refusent en effet d’admettre la responsabilité des énergies renouvelables, notamment le solaire et…
Une enquête du Canard enchaîné (10 mars) a apporté, comme on pouvait le prévoir, quelques révélations. Créé en mars 2020 par l’Etat, le fonds de solidarité était destiné, à l’origine, aux petites entreprises et aux indépendants pour faire face aux mesures exceptionnelles prises à cause de la pandémie. Il a été élargi aux PME des secteurs du tourisme, de la restauration et de la culture. Environ deux millions d’entreprises ont touché, en dix mois, quelque 15 milliards d’euros. Avec le temps, le confinement, la persistance de la crise, le système a encore pris de l’ampleur. Selon Bercy, on distribue actuellement à peu près 4.5 milliards d’euros par semaine. Dès le début, les demandes ont été traitées à grande vitesse et les aides sont arrivées en express. Sans le moindre contrôle et sous 72 heures. Il suffisait de prouver que le chiffre d’affaire avait baissé. C’est la raison pour laquelle la DGFIP (Direction générale des finances publiques) estime aujourd’hui, selon le Canard enchaîné, qu’environ 30 ou 40 % des fonds auraient été distribués sans raison valable.