Alors que l’Etat et les ARS (agences régionales de santé) organisaient le déplacement de malades, en TGV de l’Est vers le Sud, par avion vers l’Allemagne ou la Suisse, et qu’un hôpital militaire était monté en urgence, les cliniques privées, auxquelles on avait demandé de faire de la place, se retrouvaient en sous-capacité.
Administration
Si la Chine est coupable d’avoir caché la réalité et de nous avoir fait perdre du temps face à l’épidémie, l’OMS (Organisation mondiale de la santé) est au moins aussi coupable de la tragédie que le monde est en train de vivre. Au fil des années, cette organisation a été de plus en plus infiltrée par la Chine qui a toujours eu intérêt à masquer la situation médicale chez elle et à contrôler une organisation présente pratiquement dans tous les pays du monde.
L’hôpital français, victime de la bureaucratie et des mauvaises politiques publiques, secouru par l’efficacité allemande !
Rappelez-vous ! Nombreux étaient ceux qui disaient que la réforme de l’Etat et la baisse des dépenses publiques en Allemagne dans les années 2000 se faisaient au détriment de la qualité des services publics et du niveau de vie. Les dramatiques événements d’aujourd’hui infirment spectaculairement leurs critiques. C’est bien le système de santé des Allemands qui vient en aide au nôtre !
La Chine a réussi le tour de force d’étendre au monde son modèle de contrôle social au prix d’une épidémie. Et M. Macron qui en rêvait a saisi l’occasion dans son discours de ce 12 mars. L’Etat déjà surpuissant prend en mains les manettes qui lui manquaient. En attendant peut-être de confiner tout le monde chez soi, il demande aux : « personnes âgées de plus de 70 ans… de rester autant que possible à leur domicile ». Mais rassurez-vous, elles sont autorisées, par exception, à « sortir de chez elles pour faire leurs courses, pour s’aérer, mais elles doivent limiter leurs contacts au maximum ». Les enfants, transmetteurs sains, ont été envoyés dans la rue, dans les cafés ou chez les papis-mamies qui n’ont pas le droit de sortir mais qui pourront être infectés à la maison. Mais sans tarder, le gouvernement s’est aperçu de l’erreur et l’a rectifiée en fermant tous les cafés et restaurants et en recommandant d’utiliser si peu que possible les transports en commun. Pas de problème pour le président et ses ministres qui ont des cuisines privées et des chauffeurs !
Six-cent quatre-vingt une pages ! Telle est l’épaisseur de l’édition 2019 du rapport annuel sur l’état de la fonction publique. Une édition 2019 qui porte mal son nom puisque les chiffres les plus récents sur lesquels elle est construite sont ceux de 2017. Néanmoins ce pavé, apte à occuper les longues soirées d’hiver, est une source inépuisable de renseignements sur les ressources humaines des trois versants, comme on dit maintenant, de la fonction publique.
L’article 3 du projet de loi de finances pour 2020 prévoit que « Les dirigeants des entreprises dont le siège est situé en France et qui y réalisent un chiffre d’affaires annuel supérieur à un milliard d’euros sont considérés comme exerçant en France leur activité professionnelle à titre principal … » Le chiffre d’affaires consolidé serait pris en compte et les dirigeants concernés s’entendraient « du président du conseil d’administration, du directeur général, des directeurs généraux délégués, du président du conseil de surveillance, du président et des membres du directoire, des gérants et des autres dirigeants ayant des fonctions analogues ».
En France, on a les taxes et les impôts. C’est bien connu. Mais on a aussi les lois, les normes et les réglementations. Il y en a tellement qu’elles font partie de notre vie quotidienne et on a tendance à ne plus les remarquer. Pourtant, elles pèsent au moins autant sur les individus et les entreprises que les prélèvements obligatoires. Selon les chiffres du gouvernement, en janvier 2019, il y avait 84 619 articles législatifs et 233 048 articles réglementaires en vigueur.
Un véritable record, qui montre que les décideurs politiques et les administrations exercent une emprise toujours plus forte sur ceux qui créent des richesses dans ce pays. Au lieu de les libérer, les pouvoirs publics les étouffent avec l’inflation normative. En 2018, plus de 1 535 articles de loi contenant 580 592 mots ont été promulgués, 1267 décrets avec 9 030 articles et 1305 nouvelles circulaires (le chiffre le plus important en cinq ans) ont été publiés. A cela, il faut ajouter 8 327 arrêtés publiés dans le Journal officiel qui contient 71 521 pages.
Le cognac est un secteur en pleine croissance. Ce marché, tourné à près de 98% vers l’international, vient d’enregistrer en 2018 des ventes ainsi qu’une production records que cela soit en termes de volume ou de valeur. Mais même si la viticulture cognaçaise se porte bien, elle souffre d’une réglementation lourde et d’une « simplification administrative » qui accroît le temps des démarches.
Après l’examen des systèmes de retraite, voici le chemin qui, à l’intérieur d’un régime, mène de l’appel de la cotisation jusqu’au versement de la pension.
RGPD et Google : les conséquences délétères de l’arbitraire de la CNIL
Comme toutes les réglementations, le règlement européen sur la protection des données (RGPD) se veut au service de la sécurité et de l’intérêt du consommateur. Il prétend établir des normes minimales objectives de confidentialité, de sécurité et de transparence des processus de traitement des données.