Comme en France, l’un des pires ennemis de l’économie italienne est son droit du travail. Concocté dans les années 1970 en pleine période marxiste, les lois qui régissent le marché du travail sont tellement strictes qu’il est pratiquement impossible pour un patron de licencier. Il existe même un fameux article 18 du Statut du travailleur qui empêche un chef d’entreprise de se séparer même de l’employé le plus incompétent. Pour y arriver, il doit démontrer clairement les « négligences de l’employé » et « en quoi il n’a pas atteint ses objectifs ». L’employé licencié peut porter plainte au Tribunal et si les juges estiment qu’il a été licencié abusivement, le chef d’entreprise doit le réembaucher ou lui payer 15 mois de salaire ! C’est à ces entraves que vient de s’attaquer Mario Monti et son ministre du travail, Elsa Fornero. Au risque de déclencher l’ire des syndicats prêts à en découdre avec ceux qui osent libéraliser un marché du travail qui fabrique des chômeurs. (Pour en savoir plus, cliquez ici )
Comme en France, l’un des pires ennemis de l’économie italienne est son droit du travail. Concocté dans les années 1970 en pleine période marxiste, les lois qui régissent le marché du travail sont tellement strictes qu’il est pratiquement impossible pour un patron de licencier. Il existe même un fameux article 18 du Statut du travailleur qui empêche un chef d’entreprise de se séparer même de l’employé le plus incompétent. Pour y arriver, il doit démontrer clairement les « négligences de l’employé » et « en quoi il n’a pas atteint ses objectifs ». L’employé licencié peut porter plainte au Tribunal et si les juges estiment qu’il a été licencié abusivement, le chef d’entreprise doit le réembaucher ou lui payer 15 mois de salaire ! C’est à ces entraves que vient de s’attaquer Mario Monti et son ministre du travail, Elsa Fornero. Au risque de déclencher l’ire des syndicats prêts à en découdre avec ceux qui osent libéraliser un marché du travail qui fabrique des chômeurs. (Pour en savoir plus, cliquez ici )