« Le combat d’une association contre le gaspillage public. »
Au fil des pages, on découvre ou on se souvient des combats menés par Canol, association qui s’est donnée pour but de combattre les gaspillages publics, les décisions et délibérations illégales dans les collectivités du Rhône.
Pendant 22 ans, ceux qui ont commencé comme un petit groupe confidentiel d’une quinzaine de retraités bien actifs ont finalement réussi à administrer une association de 1 500 adhérents, tous mus par un sens profond de la justice et de ce que doit être le service public.
Durant deux décennies, ils ont défendu leurs concitoyens en affrontant les institutions délictueuses devant les tribunaux. Ils ont alerté sans cesse la presse, les habitants et les services de l’Etat des dérives budgétaires des élus. Avec acharnement, ils ont dénoncé les scandales et les gabegies comme le musée des Confluences à Lyon, le temps de travail légal non respecté dans les collectivités et les délires de certains élus. Cependant, le système est ainsi fait qu’il ne suffit pas d’avoir raison, d’avoir la loi pour soi, pour vaincre. Malgré l’immobilisme de la part de ceux qui sont censés vérifier la bonne application du droit, on a pu assister à quelques victoires notables, comme celle sur la TOEM, taxe sur les ordures ménagères de la Métropole de Lyon, et ses 350 millions d’euros indument perçus par la collectivité.
Aujourd’hui, l’association est dissoute, et son président fondateur, Michel Vergnaud, nous transmet ce qu’il a appris et les conclusions qu’il tire de ces années de combat. Homme tourné vers l’avenir, il détaille dans l’ouvrage des propositions de bon sens. Il y préconise, par exemple, une réforme du statut des agents de la fonction publique territoriale pour la rendre plus fluide, une évolution de la fiscalité locale des ménages pour qu’elle soit plus juste, un bien meilleur contrôle des collectivités pour qu’elles soient plus économes.
Les économies proposées se chiffrent en milliards d’euros pour les budgets des collectivités mais aussi pour les citoyens, car il ne faut pas l’oublier, c’est leur argent.
5 commentaires
Il y a bien des lustres que cela est devenu une culture Française. Les traiter de voleurs ne sert à rien, c’est une organisation mafieuse qui va continuer ainsi jusqu’à l’implosion. Regardez vos taxes qui tombent actuellement et les augmentations qui y sont faites par toutes les nombreuses couches politiques de cette République en faillite mais le jeu continue et le chef de fille donne l’exemple avec un large sourire narquois, il continue à changer tout le mobilier de l’Elysée pour son bon plaisir et demande à ceux qui le paye de se serrer la ceinture. C’est d’ailleurs la même chose à l’Europe ou l’Ursula vient de s’augmenter de 2500 €/mois pour dépasser les 30 000 / mois et s’il vous plait sans impôts à payer. Et voilà les gens qui nous détruisent à petits feux
c’est aussi ce qui s’est passé dans la région Bourgogne-Franche Comté : augmentation du traitement dans le premier mois de leur exercice, puis augmentation de notre impôt.
Nos 36’000 maires sont les champions du monde des ralentisseurs illégaux et autres coussins berlinois interdits en France, après faut pas vous étonner..
Michel BARDA, préparez-vous au grand Reich Européen. Tout nous indique que c’est la seule voie qui nous est offerte. La niaiserie française attendra paisiblement que le pouvoir se déplace, puis lorsque le grand Reich Européen dominera, je peux vous garantir que les gaspillages et les abus cesseront très vite car la méthode à mettre en place est connue, efficace et éprouvée.
quid de la foultitude de fonctionnaires-variable-d’ajustement, copains des coquins, inutiles, superfétatoires, inadaptés ou incapables, déficients et que sais-je encore (coût d’un ponx pour toute sa carrière 4 millions d’€uros en moyenne) 1 million de fonctionnaires coûtent donc 4 000 000 X 1000 000 = 4 000 000 000 000 c’est à dire 4000 milliards d’€uros d’engagement financier de l’état !