Au hasard de la campagne , on peut glaner des informations assez surprenantes dans le domaine de la fiscalité. Maître Jean Philippe Delsol, administrateur de l’IREF a fait une bonne récolte : dettes, gaspillages, niches, emplois verts et, naturellement tranche à 75 %.
Jean-Philippe Delsol
![](https://frirefeurope.b-cdn.net/wp-content/uploads/sites/2/2022/01/avatar_user_2_1641916773-100x100.jpg)
Jean-Philippe Delsol
Docteur en droit et licencié ès lettres, Jean-Philippe Delsol est avocat au Barreau de Lyon spécialisé en droit des sociétés et fiscalité internationale. Fondateur du cabinet Delsol Avocats, il est Président de l’IREF. Auteur de plusieurs livres, dont « A quoi servent les riches », il est un interlocuteur privilégié des médias sur les sujets touchant à la fiscalité, au patrimoine et à l’entreprise. Autres ouvrages publiés : Au risque de la Liberté (FX de Guibert, 2007), Pourquoi je vais quitter la France (Tatamis, 2013), Anti-Piketty (libréchange, 2015), L’Injustice fiscale (Desclée de Brouwer, 2016), Eloge de l'inégalité (Manitoba/les belles lettres, 2019), Civilisation et libre arbitre, Desclée de Brouwer, 2022
Pour pouvoir taxer les plus-values des contribuables français quittant le territoire national, la loi française autorise désormais le fisc à établir la base de leurs impôts à la veille de leur départ ! C’est en pure infraction aux principes généraux du droit. C’est un abus de droit.
A la manière des gentils escrocs de la comédie « La vérité si je mens », tous les candidats essaient de masquer l’effort fiscal qu’ils vont demander aux contribuables français. Maître Jean-Philippe Delsol, avocat fiscaliste, administrateur de l’IREF, rappelle quelques vérités : un taux marginal de 75 % d’impôt sur le revenu pour certains, un déséquilibre budgétaire persistant et ruineux, un rejet des réformes structurelles engagées chez tous nos voisins.
Les mesures phares annoncées par le Président de la République sont-elles inspirées par autre chose que le désir de combler les déficits en imposant un peu plus de « rigueur » fiscale ? Maître Jean Philippe Delsol, administrateur de l’IREF, en doute.
La récession menace les budgets puisque les recettes fiscales diminuent. Ces déficits, en dessous de 3 % du PIB, n’ont pas inquiété ceux qui ont signé les accords de Bruxelles. Mais ils ont avalisé aussi la possibilité de « déficits structurels » qui n’ont rien à voir avec les aléas de la conjoncture. Ce laxisme n’a pas échappé à la vigilance de Maître Jean-Philippe Delsol, administrateur de l’IREF.
Malheur à ceux qui depuis cinq ans ont investi en valeurs mobilières : l’amendement Carrez vient d’annuler les dispositions les exemptant (partiellement) d’impôt en cas de cession de leurs valeurs. Un conseil de Maître Jean Philippe Delsol, administrateur de l’IREF : gaspillez votre argent avant que l’Etat ne le fasse à votre place !
Le troisième anniversaire du Fonds Stratégique d’Investissement est l’occasion de s’interroger non seulement sur son efficacité (il coûte cher) mais aussi sur sa légitimité : les fonds dispensés avec générosité par l’Etat qui veut jouer à l’entrepreneur font défaut aux entreprises privées. Maître Jean Philippe Delsol, administrateur de l’IREF, analyse cet « effet d’éviction ».
Serions-nous à l’aube d’une nouvelle politique fiscale ? Maître Jean Philippe Delsol, administrateur de l’IREF, a relevé quelques signes annonciateurs dans le discours présidentiel de jeudi dernier. De leur côté, les Républicains américains reviennent à la Reaganomics et la flat tax est au cœur de leurs projets.
Depuis trois ans, au prétexte de crise, le contribuable français croule sous une avalanche d’impôts nouveaux. Maître Jean Philippe Delsol, avocat fiscaliste et administrateur de l’IREF, démontre que non seulement ces politiques sont inefficaces (à cause des anticipations rationnelles des contribuables) mais qu’elles sont aussi nuisibles pour la croissance en bloquant toute innovation.
Avec toute la précision de l’avocat fiscaliste, Jean Philippe Delsol, administrateur de l’IREF, passe le budget 2012 au crible. Une accumulation de nouveautés, toujours dans le sens de plus de prélèvements. Mais un déficit persistant faute de sérieuse réduction des dépenses, laissant prévoir un endettement encore alourdi.