La chancelière allemande, Angela Merkel, a encore dit « Nein » ! Elle ne veut pas d’une « mutualisation » des dettes des Etats européens, comme elle ne veut pas d’une solution à la crise par la relance. Le seul remède passe par des réformes structurelles et des économies réalisées par les Etats. L’Allemagne ne veut plus faire des chèques en blanc. On vient de découvrir que les Grecs n’ont pas fait les réformes pour lesquelles ils s’étaient engagés. Pire. Ils ont même embauché des fonctionnaires pour des raisons électoralistes. Et le nouveau gouvernement ne semble pas plus décidé à couper drastiquement dans les effectifs pléthoriques de l’Etat grec. L’Allemagne propose une solution supranationale avec un contrôle strict des dépenses des Etats membres. La France n’en veut pas. François Hollande sait très bien qu’il ne pourra plus continuer à gaspiller l’argent des contribuables et à mettre en place ses mesures socialistes. Alors que Mme Merkel ne souhaite plus jeter l’argent des Allemands par les fenêtres : « Si je donne de l’argent, je ne sais pas comment cet argent sera utilisé », a-telle déclaré. Mieux vaut en finir avec la bureaucratie et réformer un marché du travail d’un autre âge. C’est plus sûr que des investissements inconsidérés… Pour en savoir plus, cliquez ici .
Crise : la France est un obstacle à une solution européenne
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