La force de ce roman réside dans la fusion entre réalité historique et sentiments de l’auteur soucieux de transmettre ce qu’il advint aux Juifs égyptiens après la seconde guerre mondiale.
religion
La justice recherche le bien commun quand la morale veille au bien des personnes. Le juste attribue à chacun ce qui lui revient légitimement, il partage et départage. Le Bien donne sans compter, sans retour, librement. Le Bien est ce vers quoi chacun tend pour réaliser sa propre nature et en ce sens il est presque comme le but ultime de la justice qui a vocation de permettre aux hommes d’être libres de réaliser leurs fins. Mais quand le droit tend à confier à la collectivité le soin de dicter aux individus le Bien qu’ils doivent faire, la justice s’égare au risque de réduire la liberté des hommes qu’elle a mission de laisser prospérer.
Il est souvent dit que la France ne peut être un pays libéral à cause de ses racines catholiques. De façon générale le libéralisme serait mieux reçu dans les pays anglo-saxons que dans les pays latins. Parallèlement Max Weber et Alain Peyrefitte ont soutenu que le capitalisme était le fruit du protestantisme – une thèse combattue par Michael Novak.
Assassinat du père Olivier Maire : le gouvernement n’apprend rien
L’insécurité ne prend pas de vacances. En début de semaine, le corps du père Olivier Maire, prêtre de 60 ans, a été découvert à Saint-Laurent-sur-Sèvre, en Vendée, chez des frères…
Eglises vandalisées et incendiées : couvrez ces actes que je ne saurais voir
Il ne fait pas bon être catholique en Occident. Non seulement vos lieux de culte sont attaqués, mais en plus, les autorités refusent de traiter le problème. Si les attaques…
Depuis le début des années 1980, de nombreux intellectuels du monde musulman ont dû se réfugier en Occident, contraints de fuir leurs pays respectifs où leur liberté mais aussi leur vie étaient menacées soit par le pouvoir d’État, soit par des groupes religieux ou des masses de croyants fanatisées. Les noms des premiers venus sont bien connus : Salman Ruhsdie, Taslima Nasreen, Ayaan Hirsi Ali, Chandortt Djavaan, Waleed Al Husseini. Puis d’autres ont suivi jusqu’à nos jours, moins placés sous les projecteurs de l’actualité mais qui ont pris avec éclat la relève — on trouvera leurs noms dans une note bibliographique à la fin du texte. Leurs crimes à tous ? Avoir tout simplement voulu vivre en libres individus dans leurs pays d’origine, en disposant d’eux-mêmes sans autorisation des autorités et groupes religieux, en bénéficiant de la liberté de conscience et de celle, pour les femmes, d’être les égales des hommes pour se vêtir et exercer leur sexualité. Et pire : d’avoir osé non seulement le faire mais le dire, de publiquement protester quand ces exigences élémentaires leur étaient refusées. Autant de manières censées offenser la religion — impardonnable en terre d’islam, et y méritant forcément la relégation carcérale et, souvent, la mise à mort.
Réglementation de la messe en latin : quand le Pape François s’éloigne des catholiques
Les habitués de la messe en latin vont grincer des dents. Alors que cette messe avait été nommée “forme extraordinaire” par le pape Benoît XVI, ce qui permettait à tout…
D’après un rapport de la Commission nationale consultative des droits de l’Homme, les actes de racisme anti-blancs ont augmenté en France de 65% entre 2019 et 2020. Par ailleurs, la…
On ne présente plus la jeune Mila. Il y a un an, la jeune fille de seize ans déclenche l’une des plus grandes polémiques de l’année en publiant, sur Instagram, une vidéo où elle insulte Allah. Son livre nous rappelle que Mila est une jeune fille qui porte la haine islamique sur ses épaules, et que, pour paraphraser une autre célébrité de 16 ans, l’islam lui a volé ses rêves et son enfance.
Pour les féministes, le vrai combat est celui de l’écriture inclusive. Pas celui des femmes du monde arabe
Les féministes ont, depuis quelques années, fait plus de mal au féminisme que les hommes « machistes » qu’elles combattent. Obnubilées par l’écriture inclusive, elles en oublient les nombreux combats à mener dans d’autres pays du monde, comme dans certains pays arabes.